On a vu carte de vœux plus désagréable…

Photo de famille et feuille de route, autour d’Harlem Désir, pour les premiers secrétaires fédéraux du Parti socialiste

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Accompagner, expliquer, exister : une très belle lettre de Claude Bartolone sur notre rôle de militants socialistes

Actualités heureuses et lumineuses

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Allures de mères Noël dans un décor nocturne et une ambiance quasi neigeuse, Michèle Combes, Noëlle Boudart, Lisbeth Schreiber, Isabelle Malard, Fadilla Benamara, Catherine Cascajarès, au milieu de petits Rolivalois, ont illuminé Val-de-Reuil ce 1er décembre à 18 heures « zéro zéro ». A Questions pour un Champion, où l’on s’y connait en matière de lumières, Julien Lepers aurait dit qu’elles ont pressé un « buzzer ». Celui sur lequel elles ont appuyé, placé au milieu de l’avenue des Falaises pavoisée et scintillante, réunies juste devant la Place des quatre saisons,  a lancé, pour un bon mois, accompagné des traditionnelles volée de clochettes et de l’indispensable voix des crooners, Tino Rossi et Sinatra, les illuminations de fin d’année dans notre commune.  Nouveauté, du monument « Mémoire et Paix » jusqu’à la gare, c’est toute l’artère principale de la Ville Nouvelle, nos Champs Elysées, qui brille et non plus la moitié. Modernité oblige, les guirlandes toutes rénovées, sont en « led » avec une consommation de 0,5 watt contre 5 watts si les ampoules classiques avaient été conservées. 2400 points lumineux saluent nos visiteurs aux entrées de ville, 3000 sont tendus sous la halle du marché. La rue Courtine, avec de nouveaux motifs, et le rond point des clouets n’ont  pas été oubliés. Les bosquets d’arbres autour de la mairie sont embrasés de 2 kilomètres de guirlandes. Ensemble, élues et enfants, unis dans la même ronde pour se réchauffer, ont donné le top départ de plusieurs semaines de festivités dans la ville. Parmi d’autres le retour, à partir du 19 décembre, d’un marché de Noël sur l’esplanade des chalands bas, devant le théâtre, mais aussi la remise des colis de Noël aux séniors les 13 et 14 décembre à l’Espages ou encore le noël des crèches organisé le 20 décembre à l’école du Pivollet. C’est notre calendrier de l’avent laïque. En janvier les festivités se poursuivront avec les cérémonies de vœux : le 10 janvier pour rendre hommage, comme chaque année, au monde éducatif, le 14 janvier aux habitants et aux partenaires sur la scène du théâtre, le 23 janvier enfin au personnel municipal. Sans oublier les échanges de cartes de bonne année et les traditionnelles galettes, cela sera notre calendrier de l’après.

Confiance en l’avenir de la filière cosmétique (entretien paru dans L’écho républicain)

Secrétaire général du groupe de luxe LVMH, Marc-Antoine Jamet préside la Cosmetic Valley depuis 2011. Dans un entretien, il dresse un état des lieux plutôt élogieux du pôle de compétitivité et nourrit une ambition forte pour le pôle de compétitivité qui fait mieux que se sortir de la crise.

Un Conseil municipal joyeux, actif et offensif

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Carole Feral a pris quelques instantanés du Conseil municipal de novembre. Une photo, certes un peu floue mais son message ne l’est pas, montre l’unanimité du Conseil lors du vote de la motion adoptée contre la nouvelle autoroute, à moins que ce ne soient les mains levées lors du vote de la motion présentée par Fadilla Benamara pour le maintien de la CPAM à Val-de-Reuil. Un autre cliché montre Fabrice Barbe, le directeur général des services, brandir tel un bouclier de Brennus la confirmation de la récompense reçue par la Ville pour sa troisième fleur au concours national des villes fleuries, en l’occurrence le panneau que nous retrouverons dorénavant aux entrées de la ville. Deux portraits s’ajoutent à la galerie. Portrait de Maryline Niaux, Conseillère municipale en charge du handicap, qui a annoncé au Conseil qu’elle rendra au mois de décembre un rapport de propositions sur l’accompagnement des personnes handicapées à Val-de-Reuil, rapport dont le Préfet a fait savoir, puisqu’il a été établi en lien avec les services de l’Etat, qu’il était un travail de qualité. Portrait également de Jacques Lecerf, adjoint aux sports, avec qui nous nous battons, il en a été question durant nos débats, pour trouver des financements afin d’entretenir nos équipements. Il y aurait pu avoir d’autres images prises lors de cette soirée. Celle de Christine Ranou, la directrice de la Mission locale, venue présenter les emplois d’avenir voulus par le Président de la République et qui peut concerner jusqu’à 800 jeunes autour de Val-de-Reuil. Celle de François Merle le nouvel adjoint aux Finances qui a présenté, avec déjà une autorité et un talent conjugués, son premier budget supplémentaire. Ou encore celle de Jean-Pierre Perrault qui venait de fêter, la veille, les 10 ans du Conseil des sages. Il régnait une ambiance agréable et efficace lors de cette soirée. C’est de bon augure pour le prochain Conseil municipal, celui de la Saint-Urbain, traditionnellement festif. Il aura lieu le mercredi 19 décembre à 20h00. La salle est ouverte à tous les habitants et le site internet de la Ville (www.valdereuil.fr) retransmettra en direct nos travaux. Venez et visionnez nombreux.

La CPAM de Val-de-Reuil doit rester ouverte

Le Conseil municipal de Val-de-Reuil, depuis de nombreux mois, s’élève contre la menace de disparition de l’antenne de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM). Celle-ci offre en effet un service public de proximité à 15 000 habitants et aux assurés sociaux des communes voisines. Une fermeture serait donc inacceptable pour la ville comme pour l’agglomération Seine-Eure.

Elle entraînerait en outre un inadmissible encombrement des accueils de substitution et une détérioration inadmissible des conditions de travail des agents concernés. Déjà la CPAM de Louviers explose du fait de ce report et les heures d’attente vont augmentant, provoquant exaspération, inquiétude, fatigue, incompréhension.

Au contraire, la présence réaffirmée et renforcée d’une antenne de la CPAM constitue non seulement un outil fort de solidarité, mais surtout un accès à l’information, aux soins, à un conseil concret indispensable à une population souvent défavorisée, fragile, dont la moitié a moins de 25 ans et qui ne dispose pas toujours des moyens de se déplacer. L’éloignement administratif serait, pour elle, un nouvel élément de discrimination, de stigmatisation et d’exclusion, un obstacle supplémentaire à une vie digne et sereine.

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Une autoroute au tracé inacceptable

Le préfet de Région vient de présenter aux élus locaux le tracé retenu par l’Etat pour le contournement Est de Rouen. Il ne correspond en rien pour ce qui est de la partie qui traverse notre ville et les communes voisines au projet évoqué voici cinq ans, sans nuisances, sans visibilité, et sur lequel nous pensions qu’un accord s’était fait.

Dans l’Eure, l’autoroute traverse la Seine par un pont coupant les communes de Pitres et du Manoir sur la rive droite et celles de Léry et des Damps sur la rive gauche avant de traverser sur plus de 4km le territoire de notre commune en lisière de la forêt de Bord.

Cette cicatrice routière, véritable barrière sur notre territoire, est perçue comme une agression par tous les Rolivalois. Leur seule richesse est, parfois, leur paysage. La seule aisance de la ville son cadre de vie. Le patrimoine et l’héritage de la commune sa situation de ville nouvelle dans la campagne normande.  On détruira en 2025 ce qui a été conçu en 1975.

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De Sephora à Obama

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Grâce Loubassou, qui a déjà « publié » au printemps sur ce site une interview (parue dans Elle) sur ce qu’elle pensait du candidat Hollande, a la gentillesse de me donner régulièrement des nouvelles de son parcours américain. Partie de Val-de-Reuil et du lycée Marc Bloch pour un accès vers une grande école et demain je l’espère un bon travail, vers Paris et Sciences-Po, dont elle est encore aujourd’hui étudiante, vers San Francisco et Sephora, pour un stage à l’étranger en milieu professionnel, vers San Francisco toujours et le duo Obama-Biden pour une campagne, celle de la réélection, à laquelle elle a participé. Combien de Français peuvent-ils, comme elle, se dire : « j’y étais »? En 2008 bien des dirigeants politiques de notre pays s’étaient battu pour en être. En 2012 Grâce Loubassou s’est battu et a battu, mais le pavé, en y étant. Ce sont des photos sympathiques, à la fois dignes d’un épisode de campagne d’A la Maison Blanche et proches des images des clips de campagne. Je me permets de les partager parce qu’elles montrent, encourageant les uns, motivant les autres, qu’il n’y a pas qu’en Amérique que tout est possible. Grâce m’écrit : « J’ai vécu une expérience formidable en tant que volontaire au QG démocrate de San Fancisco ». On veut bien la croire, on est très fier et, avouons-le, on l’envie beaucoup.

Au Conseil National, je viens de recevoir cette lettre qui nous est destinée collectivement et qui doit nous mobiliser davantage encore.