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28 octobre 2018, Cher Marc-Antoine Jamet, Il y a 20 ans nous avons réalisé pour les habitants de Val-de-Reuil le monument à la mémoire et à la paix. C’est dans un esprit d’humilité, d’ouverture, d’accueil adressé à tous que nous l’avons imaginé. Son parcours isole progressivement de l’ambiance quotidienne de la ville, pour […]
Nouveau prix d’urbanisme pour Val-de-Reuil : L’éco-quartier des Noés et son architecte Philippe Madec décrochent le prix du Moniteur/Équerre d’Argent dans la catégorie « aménagement urbain et paysager » « Nul n’est prophète en son pays ». Pourtant la qualité et la réussite du renouvellement urbain de Val-de-Reuil (ORU, ANRU, PNRU2), son utilité et sa maîtrise, sont unanimement soulignées. […]
Chers camarades mais aussi chers amis,
Nous sommes très heureux de vous accueillir à Val-de-Reuil, ville qui est pour notre parti comme une patte de lapin. C’est là par exemple, en 2010, que nous avions commencé et terminé, en vainqueurs, contre deux ministres annoncés gagnants,
la campagne des régionales. C’est là aujourd’hui que nous lançons, dans notre département, la première étape d’un long chemin qui devra mener notre camp à la victoire présidentielle. Je suis très heureux de voir nos sections ici réunies, à Val-de-Reuil qui dans l’Eure connaît la même situation que le PS, c’est-à-dire qui doit savoir se faire respecter.
Les 9 et 16 octobre se tiendront les primaires citoyennes, les premières dans notre pays et par lesquelles chaque citoyen, pourvu qu’il partage les valeurs fondamentales de la Gauche, pourra désigner celui ou celle qui lui paraît incarner le changement que nous voulons tous en 2012.
Carton d’invitation 10 septembre 2011
La désignation du candidat PS à l’élection présidentielle, les 9 et 16 octobre prochains, marquera à Gauche le calendrier politique de la rentrée. Organisées par les militants socialistes, elles sont, les mots ont leur importance, avant tout des primaires citoyennes. Cela signifie que chacun de ceux qui souhaitent un vrai changement en 2012 pourra voter pour celui ou celle qu’il pense le ou la mieux à même de porter nos valeurs.
Cette échéance, pour la préparer, mérite un temps de discussion, de dialogue, de partage et de convivialité. C’est pourquoi les camarades de la section de Val-de-Reuil et moi-même serions très heureux de vous accueillir dans notre commune le samedi 10 septembre, à 12h30, sur l’Ile du Roy, sous le soleil qui sera chaud et bienfaisant (si, si !), avec la Fédération du Parti socialiste de l’Eure qui a choisi notre ville pour être le premier grand rendez-vous de la campagne.
Celle-ci concerne chacun d’entre nous : militants ou sympathisants socialistes, communistes ou écologistes. Plus ses électeurs s’investiront dans les primaires, plus la Gauche sera en mesure de se rassembler au second tour de l’élection présidentielle et de l’emporter face à la droite !
Il serait bon et utile, ainsi, que nous soyons nombreux, ce samedi 10 septembre, à Val-de-Reuil, à préparer la victoire nécessaire de 2012.
Ce matin, notre fête nationale ne peut pas être gaie. Ce matin, des êtres, des voix, des regards, que nous avions l’habitude de croiser ou d’entendre entre ces murs, devant ce drapeau, sur ces marches, nous manquent. Ce matin, davantage encore, la droiture d’Antonio Antonioli nous manque. La vigilance rassurante, la force tranquille, de Jeanne et Michel Doucet nous manquent. Nos amis Michaud ou Mugnier nous manquent. Comme nous manque, quelques jours après sa disparition à la suite d’une longue maladie, la générosité de Micheline Fromentin.
Depuis le 6 juillet 1880 et Jules Grévy, sous les trois couleurs de notre drapeau, au son de la Marseillaise qui est notre hymne national, le 14 juillet est le jour où se rassemble la Nation, unie et indivisible, celle qui appartient à tous et n’est la propriété de personne, celle qui surmonte les clivages et les différences comme nous le faisons ici à Val-de-Reuil pour dire notre appartenance collective à la France. C’est un jour où nos valeurs, l’égalité, la liberté, la fraternité doivent nous aider à faire reculer nos peurs et nos frayeurs.
Cher(e) camarade,
Je t’ai écrit il y a peu pour te soumettre les réflexions qui me semblaient permettre à la Gauche de l’emporter lors de l’élection présidentielle de 2012. Il y était question de débat politique de fond, clair et assumé. Il y était question d’un nouvel élan militant. Il y était question de jeu collectif.
Nous attendons une victoire présidentielle depuis 1995. Chacun d’entre nous doit donc s’investir personnellement dans cette bataille. La droite est bien plus dangereuse que ne le prédisent actuellement les sondages. Mettons fin à son mandat et gagnons l’élection présidentielle !
Cher(e) camarade,
Un certain nombre d’événements ont marqué, pour notre parti, les six premiers mois de l’année 2011. Certains sont porteurs d’espoir et je songe, en premier lieu, à l’adoption à l’unanimité de notre projet pour l’élection présidentielle de 2012 comme le proposait notre Première Secrétaire Martine Aubry. D’autres ont été plus tristes. Je n’y reviendrai pas, si ce n’est pour espérer que, dans son rapport entre les hommes et les femmes, notre société évoluera vers plus d’égalité et plus de respect, mais aussi que le système judiciaire américain se contente, un jour, d’aboutir à la vérité sans rechercher l’humiliation de ceux qu’il poursuit. Deux dates, également, ont appelé notre réflexion, car elles sont, je crois, susceptibles de nous éclairer sur la ligne de conduite à adopter à la veille des échéances décisives des douze prochains mois.
La réunion en préfecture d’Evreux qui a rassemblé, aujourd’hui 10 juin, représentants de l’Etat, dont la Préfète de l’Eure et un nouveau membre du cabinet de Bruno Le Maire (dont le rythme de remplacement à la table des négociations est presque aussi rapide que celui des titulaires du portefeuille de l’industrie à la table du conseil des ministres, soit trois en trois ans), les représentants du personnel et les collectivités locales laisse une pénible impression de « déjà vu » pour tous ceux qui se battent depuis 2010 pour sauver cette entreprise.
En deux heures, rien de décisif n’a été avancé, rien de concret n’a été proposé. Au contraire, le délégué du Ministère de l’Agriculture a encore évoqué comme il y a six mois, comme il y a un an, comme il y a un an et demi, sur le même dossier et malgré la détresse des plus de 300 salariés menacés, de fantomatiques repreneurs, d’hypothétiques solutions, d’invraisemblables montages sans financements précis, sans le moindre nom, sans aucune référence. (suite…)
POUR LES 30 ANS DE L’ELECTION DE FRANCOIS MITTERRAND :
18 RECITS INEDITS POUR UN FILM EXCLUSIF SUR ECRAN GEANT
Dimanche 10 mai 1981, ils y étaient. Ils l’ont vécu à Château-Chinon ou rue de Solferino, auprès du candidat François Mitterrand ou sur les plateaux de télévision. Ils ont passé leur journée à espérer ou à trembler. Ce serait le Front Populaire ou un nouveau sinistre 1974. Hommes politiques, militants, journalistes, collaborateurs, pour la première fois agencés, assemblés, montés, leurs récits se complètent de manière incroyable et donnent de ces 24 heures qui changèrent la France une vision à la fois légendaire et humaine dans un « 26 minutes » d’anthologie.
Par le Collectif de l’appel du 10 mai
A l’occasion du 30 e anniversaire de l’élection du premier, et à ce jour seul, président de gauche sous la Ve République, la nostalgie n’est pas de mise. La gauche, parce que c’est sa vocation historique, a le devoir de se projeter dans l’avenir, donc de remporter l’élection de 2012. Une société de plus en plus injuste, à qui l’on prétend faire croire que c’est une fatalité, une jeunesse en panne d’avenir, des classes moyennes et populaires désemparées, la précarité qui s’accroît, la laïcité républicaine menacée, une France controversée. Aujourd’hui comme il y a trente ans, la France a besoin d’espérance, et de profonds changements.
Mesdames et Messieurs les élus,
Mesdames et Messieurs les autorités civiles et militaires,
Mesdames et Messieurs,
Je ne sais pas qui de sa maman Mme Zede Mahdia, qui de Val-de-Reuil, qui de la République française et de la Nation, est le plus fier de Mohamed Rebbah. Assurément sa maman qui travaille à l’école Jean Moulin où nous lui confions nos enfants, et on le serait à moins… Votre plus grande fierté fut d’avoir, Madame, vu votre fils défiler sur les Champs Elysées. C’était le 14 juillet 2008. Val-de-Reuil n’est pas peu fière également. Mohamed Rebbah en ce jour est son emblème, son visage, sa voix. Enfin, la Nation française, pas seulement fière, lui est aussi reconnaissante.
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