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FEV
2013

Il ne faut jamais se réjouir du malheur des autres. Ce qui vaudrait pour les humains est assez facilement transposable aux communes. Surtout lorsqu’elles sont amies. La principale épreuve d’athlétisme indoor de France, une des plus importantes d’Europe, est, de tradition, le meeting de Liévin qui pour l’occasion mériterait presque de détrôner Arras comme chef lieu du Pas-de-Calais. C’est le  grand rendez-vous sportif de début de saison. Il vient d’être annulé pour des raisons techniques liées aux travaux de rénovation du stade qui l’accueille. Ce coup du sort a failli faire des victimes collatérales. La fédération française d’athlétisme se devait, pour tenir son rang, d’organiser une compétition hivernale. Canal + avait prévu de la retransmettre. Le vertige de l’écran noir est à la chaine cryptée ce que celui de la page blanche est à l’auteur fatigué. Angoissant. Allait-on passer la mire en lieu et place des dieux du stade ?
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25
JAN
2013

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Ce que dit, depuis hier, à propos de ma très modeste personne, Arnaud Levitre, sur sa page Facebook, est à la fois bête et méchant. Il faut lui pardonner, car ce parti-pris banal ne s’est imposé à lui que par ignorance, étroitesse d’esprit et ostracisme. Autant de maux qu’il a pourtant, à mon grand regret, lui même subis. Il aurait donc pu me les épargner.
En effet, selon lui, je n’aurais pas du être à Alizay mercredi dernier pour y saluer la reprise de l’entreprise M’Real ? La belle affaire !
En clair, comment un social démocrate, un réformiste, qui n’est pas né -je l’ai souvent rappelé- avec une cuiller en or, même de Sibérie, dans la bouche, uniquement passé par les concours de la République pour s’imposer dans l’ascenseur social, aujourd’hui cadre dirigeant d’une entreprise qui exporte, emploie, produit « made in France », peut-il pousser la fidélité à ses convictions jusqu’à se montrer, à ses risques et périls, au moins celui de l’incompréhension conjuguée de son milieu professionnel et de certains élus locaux, aux côtés des travailleurs. Le centralisme démocratique y perd son bas latin. Rétrospectivement, j’en viendrais presque à regretter le temps passé place du Colonel Fabien avec Hue, Gayssot, Lajoinie et consorts à « gratter » des accords byzantins pour préparer ce que serait la Gauche plurielle.
Puis-je, en m’inclinant bien bas devant lui et l’omniscience ontologique de mon contradicteur lui rétorquer quelques arguments qu’il balaiera, fort de ses certitudes solitaires, d’un revers de sa belle main…
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