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24 JUIN 2013

Un hôtel de « Première Classe » à Val-de-Reuil

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Le rond point des Clouets continue sa croissance et renforce son attractivité, à Val-de-Reuil, au centre géographique de l’agglomération, dans la zone économique qui reste, malgré la crise, la plus dynamique du département de l’Eure, situé à mi distance entre Paris et Le Havre. Il accueille désormais un nouvel hôtel, l’hôtel de la chaine Première Classe. L’établissement est géré par Laëtitia Chauche et ses équipes. Martine Rossillon et Delphine Costes, qui en sont les propriétaires, que je remercie et que je salue, ont choisi notre territoire en dépassant l’image qu’elle avait de notre commune voici une dizaine d’années. A côté des grands noms de l’industrie rolivaloise installés à deux pas des Clouets, de nouvelles entreprises, start-up, sièges sociaux, PME sont en train de s’installer, de créer des emplois à Val-de-Reuil et pour les Rolivalois, de générer du passage dans la ville. Sans oublier les chiffres de fréquentation qui explosent à Biotropica. 200 000 visiteurs étaient attendus sur l’ensemble de l’année 2013. En six mois, 178 000 sont déjà venus. C’est bon pour la Ville. C’est bon pour les restaurateurs qu’il faut fréquenter du 1973 à la Pataterie, de Poivre Rouge à Courtepaille, du Bon Coin à Pizza delle Arte, de Bufallo Grill à la Ferme de Haute Crémonville, du Palais de Val-de-Reuil à Mac Donald. C’est bon pour les hôteliers Balladins, Formule 1, Mercure, First hôtel.

23 JUIN 2013

Les meilleurs gagnent Val-de-Run en 30 minutes, mais combien de temps faut-il pour féliciter les gagnants ? La remise de récompenses est une agréable course de fond. Cette année, en compagnie de Miss Normandie.

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21 JUIN 2013

NI Stade de France ni Bercy. Je ne fêtais pas mes 70 ans. Mais, pour la Saint-Jean, autrement dit la Saint-Johnny, un maire a le droit de faire ce qu’il ne faut pas. Allumer le feu !

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21 JUIN 2013

Clés, notes et arpèges magiques. La jeunesse rolivaloise, le SIEM et la Ville se sont réunis pour faire un sort à la pluie. Une fête de la musique réussie. Qui a continué. Le soir, une jeune fille à la guitare, que nous entendions de notre salle de réunion, chantait sur le banc de la mairie. La Plaine Saint-Jean donnait de la musique africaine. Le bal populaire a joué pour tous les goûts. Et le lendemain la rue Courtine, autour du Rolivalois et du 1973, a fait la fête toute la soirée. J’avais commencé la semaine par un concert de Mozart un peu guindé. Elle s’est terminée par des concerts et des beaux arts.

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21 JUIN 2013

Tour de marché, passage sur la dalle et réunion avec les élus rolivalois : Patrice Yung, le Président de la CASE, a accepté notre invitation à passer quelques heures dans notre ville ce vendredi. Un moment de travail utile et appréciable. Pourquoi ne pas prononcer le mot « réconciliation » ? Il y aura toujours des batailles à livrer pour la Ville, mais, avec Patrice Yung, finie la guerre de tranchées face à la CASE.

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18 JUIN 2013

C’est l’été, démailez-vous !

Pour retrouver le goût de la discussion, l’occasion d’un réunion et la sensation du temps long, pour la seconde fois, la Ville de Val-de-Reuil organisera symboliquement le 21 juin 2013, jour de l’été, l’opération « démailez-vous ! ».

Pendant 24 heures, les claviers des services municipaux (sauf urgence) resteront inactifs. Pendant 24 heures, sur les écrans de la Commune ne défileront pas, en immédiat, des informations qui ne méritent pas toutes une telle instantanéité.  Pendant 24 heures, les serveurs et logiciels de la Mairie laisseront place à une « slow life » qui, pour une journée remettra en ordre les priorités de l’action.

Cette journée sans le stress des courriels est un moyen, également, de retrouver un peu de convivialité dans un monde numérique qui en perd souvent, sous l’avalanche des milliers de messages reçus ou envoyés chaque jour à un rythme de plus en plus rapide. Les secondes, minutes et heures épargnées seront consacrées par chacun à la réflexion sur les moyens d’améliorer le service public municipal.

Nous invitons évidemment tous nos partenaires à nous rejoindre dans cette initiative.

Tous les habitants et partenaires de la Ville sont, bien sûr, conviés à rejoindre ce mouvement anti stress. Nous espérons ainsi les retrouver le soir en bonne forme pour la fête de la musique, sur l’esplanade de Workington, devant la mairie notamment, à 19h30 pour un grand concert, puis, Plaine Saint-Jean, à partir de 22h00 pour le bal populaire et à partir de 23h00 pour le feu de la Saint-Jean.

15 JUIN 2013

« J’ai encore à faire ici. » Interview. Le maire de Val-de-Reuil, Marc-Antoine Jamet (PS), candidat à sa succession, se livre (en partie) à moins d’un an des municipales. Projets et coups de griffes. (Paris Normandie)

Ouvrir la page de l’interview dans Paris Normandie en cliquant ici.

Fatigué par le jetlag au point de concéder être un tantinet à la merci de nos questions, c’est sans cravate, en tenue décrontractée et dans une brasserie  (simple) où il se sent (presque) chez lui, que Marc-Antoine Jamet (MAJ) balance entre confidences et propos huilés. Au menu de ce déjeuner, Val-de-Reuil, une porte entrouverte sur sa vie à l’échelle mondiale et ses ambitions. A table !

New York pour affaires puis le Japon avec François Hollande dans la foulée, Paris la semaine. Et Val-de-Reuil dans tout ça ?

« J’y suis présent physiquement et moralement. Je peux affirmer sans crainte être celui qui connaît le mieux la ville, le Val-de-Reuil des usines, des caves, de la forêt, des commerces, des carrières. Je vis à Paris et ici. Je suis plus présent que beaucoup d’autres maires. »

Vous êtes de nouveau candidat pour un 3ème mandat. Qu’est-ce qui vous motive ?

« Je n’ai pas fini ce que j’ai à faire à Val-de-Reuil. Nous avons de nombreux projets à réaliser : le PNRU2 (Plan de rénovation urbaine, ndlr), une nouvelle mairie, pourquoi pas face à l’église, une salle des fêtes, un nouveau théâtre qui sera lancé cet été comme l’éco-quartier. Je souhaite aussi accompagner le développement des entreprises et de nouvelles offres commerciales en centre-ville. Je l’affirme : il y a davantage de commerces à Val-de-Reuil mais ils ne sont pas bien placés. Nous envisageons, à terme, de de les faire venir sur l’ilôt 14. Nous comptons aussi sur le rond-point des Clouets (à deux pas de l’A13, ndlr). Plusieurs enseignes vont s’y implanter, dont une brasserie, Au Bureau, cet automne. Mon but est que les gens s’y arrêtent le dimanche soir. »

Nombre de communes aimeraient avoir un ministre pour favoriser leurs projets et leurs financements. Votre entregent, grâce à vos différentes responsabilités, notamment chez LVMH, facilitent votre travail municipal. Avez-vous de nouvelles ambitions politiques ?

« Je reste circonspect sur la candidature du maire de Louviers, Franck Martin, aux sénatoriales, comme je l’ai lu dans vos colonnes (lire notre édition du samedi 8 juin, ndlr). Quand je suis en voyage avec le président de la République, je n’y vais pas pour me pousser du col ! Mon travail chez LVMH est particulièrement prenant, certes. Mais je mets aussi mon carnet d’adresses au profit de l’économie de Val-de-Reuil. Ma carrière me permet une très grande liberté. »

Vous évoquez votre ennemi intime et néanmoins voisin, le maire (PRG) de Louviers. Une liste PS se constitue pour lui barrer la route aux municipales. Vous êtes le patron du Parti socialiste de l’Eure. Quel rôle jouez-vous dans cette guéguerre ?

« Je n’ai rien fait et je n’appuie personne. Je laisse cette liste en autonomie locale. »

Vous aussi serez probablement, en mars 2014, à faire face à une liste de gauche dissidente menée par Mickaël Amsalem, le fils de l’ancien maire socialiste. Votre avis ?

« Je vois un garçon seul qui se promène seul sur les foires à tout. Il est salué par le FN, par l’UMP. Je ne sais pas d’où vient sa candidature, où elle va ni pourquoi. Mon objectif est de dire non au Front national et non au projet d’autoroute qui défigurerait Val-de-Reuil. »

Cité du futur sur le papier créée en 1973, Val-de-Reuil n’a jamais atteint ses objectifs. Elle devait compter 240 000 habitants, il y en a presque 16 000. Quel est votre regard sur la ville ?

«  Quand j’ai été élu maire, une jeune femmes est venu me voir pour me demander de l’aide car elle n’avait plus de verrou sur sa porte. N’importe qui entrait chez elle. Je passe sur les détails. C’est fini tout ça ! Nous avons changé la ville, on a changé la vie. Mais pas partout. La périphérie, le germe de ville, la dalle sont une réussite, il nous faut s’occuper des abords maintenant.  Notre slogan pour ces prochaines municipales est tournée vers demain : Pour l’avenir de nos enfants. »

Pas facile avec une dette si conséquente ?

« Actuellement, on rembourse ce que l’on emprunte. J’ai rencontré le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve, pour obtenir un deuxième lissage de la dette laissée par l’Etat et qui se monte désormais à 6 millions d’euros.  Depuis mon arrivée, nous avons remboursé 40 millions d’euros. Il reste 35 millions d’euros, l’équivalent d’un budget municipal. Pour autant, les impôts n’ont pas augmenté depuis quatorze ans ! »

Propos recueillis par G. Lejeune

 

© 2011 Marc-Antoine Jamet , Tous droits réservés / Wordpress