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18 OCT 2013

« Val-de-Reuil reçoit une Fleur » (Paris Normandie). Une Fleur, deux annonces.

25 SEPT 2013

« Val-de-Reuil, une terre d’entreprises » (Paris Normandie, 25 septembre 2013)



4 SEPT 2013

De nouveaux « Echos » de l’allègement de notre dette… (Les Echos, 4 septembre 2013)

Par Dominique Aubin, Les Echos | 04/09 | 06:30

L’Etat allège la dette de Val-de-Reuil

Haute-Normandie : L’ex-ville nouvelle du Vaudreuil (Eure) devenue en 1985 commune de plein droit sous le nom de Val-de-Reuil vient de bénéficier d’un réaménagement de la partie de sa dette contractée lors des premières années de sa fondation. Le ministère du Budget a accepté que son remboursement s’étale jusqu’en 2032 et non plus 2025. D’un montant initial de 9 millions d’euros d’aujourd’hui, cette dette correspond à des avances consenties par l’Etat à l’établissement public chargé de l’aménagement du site pour créer des équipements qui se sont avérés surdimensionnés. Conçue pour 140.000 personnes, Val-de-Reuil ne dépasse pas 15.000 habitants. Lors de la dissolution de cet établissement et la création de la commune, l’Etat lui avait transféré la dette.

Retrouvez en cliquant ici l’article paru dans Fil Fax au mois d’août : http://www.filfax.com/blogs/redaction/2013/08/13/bercy-accepte-de-reechelonner-une-vieille-dette-de-val-de-reuil/

12 AOUT 2013

Bercy accepte de rééchelonner une vieille dette de Val-de-Reuil (Fil Fax, 12 août 2013)

(ANI 12/08/13)

L’Etat a décidé d’accorder à la ville de Val-de-Reuil un nouveau calendrier de remboursement d’une dette qui remonte à 1985 après l’accession de l’ancienne Ville Nouvelle au statut de commune de plein exercice, vient d’annoncer le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve. Cette décision soulagera les finances de la commune qui est engagée depuis 10 ans dans un important programme de rénovation urbaine.

D’un montant de 9,4 M€ à l’origine, cette somme correspond aux dépenses que l’Etat avait engagées pour la fondation en 1975 de la Ville Nouvelle du Vaudreuil, alors sous statut Etablissement public. En plus des difficultés inhérentes à la conception de la ville nouvelle, à son urbanisme, aux difficultés sociales, Val-de-Reuil traîne comme un boulet son surdimensionnement. « La ville, conçue pour recevoir 140 000 habitants, en compte aujourd’hui un peu plus de 15 000, mais dispose d’équipements publics, de voiries, d’aménagements surdimensionnés, devenus obsolètes qui génèrent de forts coûts de fonctionnement et d’entretien », explique la municipalité conduite par Marc-Antoine Jamet (PS) qui a succédé en 2001 au socialiste Bernard Amsalem, premier maire élu en 1981 par les habitants. En résumé, l’Etat – en l’espèce le ministère du Budget – exige de la collectivité qu’elle règle la note alors qu’elle n’existait pas au moment de passer la commande !

Etranglée par un endettement colossal à la fin des années 1990, la jeune commune s’était vue placée en 2000 quasiment sous tutelle de la préfecture de l’Eure et de la Chambre régionale des comptes. Lors de son élection en 2001, M. Jamet fort de sa parfaite connaissance des cercles ministériels, muni d’un solide carnet d’adresses, a entrepris de front une opération désendettement – de 70 M€ en 2000 à 39,5 M€ en 2013 – et une ORU (Opération de renouvellement urbain) d’un montant de 95 M€, qui ont fini par convaincre Bercy de faire un effort, quoique tout relatif puisqu’il n’efface pas l’ardoise mais accepte de la rééchelonner son remboursement.

En faisant le siège du ministère du Budget, Marc-Antoine Jamet avait obtenu un premier aménagement avec un échelonnement jusqu’en 2025 et des annuités constantes. Cette fois, le ministre du Budget Bernard Cazeneuve reporte l’échéance à 2032 « afin de faire aboutir les efforts engagés », écrit-il dans un courrier du 1er août au maire de Val-de-Reuil. L’annuité baissera de 200.000 € par an jusqu’en 2020 ce qui permettra de dégager 1,5 M€ d’investissements supplémentaires sur le prochain mandat (2014-2020).

15 JUIL 2013

« Pour le droit de vote des étrangers » (Paris Normandie, Tribunes & Opinions, 15 juillet 2013)

Lire la tribune telle que publiée dans Paris Normandie en cliquant ici.

Le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales est depuis 30 ans l’un des piliers démocratiques de chaque programme présidentiel et législatif présenté et porté par la Gauche. Reste qu’il y a toujours eu, jusqu’à présent, une bonne raison de ne pas en poser ses fondations. Jadis, une élection que cela nous aurait fait perdre. Naguère, le Sénat de droite qui bloquait. Aujourd’hui, la crainte d’un vote négatif au Congrès qui enterrerait la question pour 20 ans ou bien encore le souhait de ne pas instrumentaliser une mesure de cette importance à dix mois d’un scrutin.

Il ne faut pas en rester à ces réflexes. Aujourd’hui, vis-à-vis de ce droit toujours à conquérir, ne nous laissons pas, ne nous laissons plus surprendre par je ne sais quelle méfiance individuelle, dont j’ose espérer qu’elle n’est le fait d’aucun homme de Gauche, ou collective. 30 années de promesses tenues, de 1991 à 2012 en passant par 1988 et 1997, ne peuvent aboutir à l’oubli de celle-ci. Il faut aujourd’hui mettre fin à cette valse hésitation.

(suite…)

13 JUIL 2013

« MAJ ou la bosse du gazouillis primée » (Paris Normandie)

15 JUIN 2013

« J’ai encore à faire ici. » Interview. Le maire de Val-de-Reuil, Marc-Antoine Jamet (PS), candidat à sa succession, se livre (en partie) à moins d’un an des municipales. Projets et coups de griffes. (Paris Normandie)

Ouvrir la page de l’interview dans Paris Normandie en cliquant ici.

Fatigué par le jetlag au point de concéder être un tantinet à la merci de nos questions, c’est sans cravate, en tenue décrontractée et dans une brasserie  (simple) où il se sent (presque) chez lui, que Marc-Antoine Jamet (MAJ) balance entre confidences et propos huilés. Au menu de ce déjeuner, Val-de-Reuil, une porte entrouverte sur sa vie à l’échelle mondiale et ses ambitions. A table !

New York pour affaires puis le Japon avec François Hollande dans la foulée, Paris la semaine. Et Val-de-Reuil dans tout ça ?

« J’y suis présent physiquement et moralement. Je peux affirmer sans crainte être celui qui connaît le mieux la ville, le Val-de-Reuil des usines, des caves, de la forêt, des commerces, des carrières. Je vis à Paris et ici. Je suis plus présent que beaucoup d’autres maires. »

Vous êtes de nouveau candidat pour un 3ème mandat. Qu’est-ce qui vous motive ?

« Je n’ai pas fini ce que j’ai à faire à Val-de-Reuil. Nous avons de nombreux projets à réaliser : le PNRU2 (Plan de rénovation urbaine, ndlr), une nouvelle mairie, pourquoi pas face à l’église, une salle des fêtes, un nouveau théâtre qui sera lancé cet été comme l’éco-quartier. Je souhaite aussi accompagner le développement des entreprises et de nouvelles offres commerciales en centre-ville. Je l’affirme : il y a davantage de commerces à Val-de-Reuil mais ils ne sont pas bien placés. Nous envisageons, à terme, de de les faire venir sur l’ilôt 14. Nous comptons aussi sur le rond-point des Clouets (à deux pas de l’A13, ndlr). Plusieurs enseignes vont s’y implanter, dont une brasserie, Au Bureau, cet automne. Mon but est que les gens s’y arrêtent le dimanche soir. »

Nombre de communes aimeraient avoir un ministre pour favoriser leurs projets et leurs financements. Votre entregent, grâce à vos différentes responsabilités, notamment chez LVMH, facilitent votre travail municipal. Avez-vous de nouvelles ambitions politiques ?

« Je reste circonspect sur la candidature du maire de Louviers, Franck Martin, aux sénatoriales, comme je l’ai lu dans vos colonnes (lire notre édition du samedi 8 juin, ndlr). Quand je suis en voyage avec le président de la République, je n’y vais pas pour me pousser du col ! Mon travail chez LVMH est particulièrement prenant, certes. Mais je mets aussi mon carnet d’adresses au profit de l’économie de Val-de-Reuil. Ma carrière me permet une très grande liberté. »

Vous évoquez votre ennemi intime et néanmoins voisin, le maire (PRG) de Louviers. Une liste PS se constitue pour lui barrer la route aux municipales. Vous êtes le patron du Parti socialiste de l’Eure. Quel rôle jouez-vous dans cette guéguerre ?

« Je n’ai rien fait et je n’appuie personne. Je laisse cette liste en autonomie locale. »

Vous aussi serez probablement, en mars 2014, à faire face à une liste de gauche dissidente menée par Mickaël Amsalem, le fils de l’ancien maire socialiste. Votre avis ?

« Je vois un garçon seul qui se promène seul sur les foires à tout. Il est salué par le FN, par l’UMP. Je ne sais pas d’où vient sa candidature, où elle va ni pourquoi. Mon objectif est de dire non au Front national et non au projet d’autoroute qui défigurerait Val-de-Reuil. »

Cité du futur sur le papier créée en 1973, Val-de-Reuil n’a jamais atteint ses objectifs. Elle devait compter 240 000 habitants, il y en a presque 16 000. Quel est votre regard sur la ville ?

«  Quand j’ai été élu maire, une jeune femmes est venu me voir pour me demander de l’aide car elle n’avait plus de verrou sur sa porte. N’importe qui entrait chez elle. Je passe sur les détails. C’est fini tout ça ! Nous avons changé la ville, on a changé la vie. Mais pas partout. La périphérie, le germe de ville, la dalle sont une réussite, il nous faut s’occuper des abords maintenant.  Notre slogan pour ces prochaines municipales est tournée vers demain : Pour l’avenir de nos enfants. »

Pas facile avec une dette si conséquente ?

« Actuellement, on rembourse ce que l’on emprunte. J’ai rencontré le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve, pour obtenir un deuxième lissage de la dette laissée par l’Etat et qui se monte désormais à 6 millions d’euros.  Depuis mon arrivée, nous avons remboursé 40 millions d’euros. Il reste 35 millions d’euros, l’équivalent d’un budget municipal. Pour autant, les impôts n’ont pas augmenté depuis quatorze ans ! »

Propos recueillis par G. Lejeune

 

9 MAI 2013

Le parti socialiste derrière François Hollande (Paris Normandie)

Si le président de la République est au plus bas dans les sondages, sa cote demeure intacte dans l’Eure, à entendre le premier fédéral du parti socialiste, Marc-Antoine Jamet. « Dans la fédération, personne ne regrette d’avoir voté pour François Hollande », a-t-il déclaré, mardi, entouré d’un bureau fédéral « renouvelé, rajeuni, paritaire et représentatif du département », selon les termes du maire de Val-de-Reuil. Concernant l’état des troupes (1 050 militants revendiqués dans l’Eure), Marc-Antoine Jamet déclare que sa fédération se porte bien malgré la morosité ambiante. Il constate même un regain d’adhésions : « Plus trente-six ces derniers six mois ». Le premier fédéral s’est aussi voulu rassurant quant aux finances du PS départemental. Concernant les municipales de 2014, la fédération soutiendrait les maires sortant PRG à Évreux et PS à Vernon. À Louviers, tenu par le radical de gauche Franck Martin, des discussions ont cours avec la section locale du PS. Marc-Antoine Jamet a également parlé de « relation apaisée » avec le parti communiste de l’Eure. Côté bilan, « deux tiers des promesses de Hollande ont été tenues », comptabilise le premier fédéral, qui n’a pas cité le nom de Jean-Luc Mélenchon mais a parlé à son propos de « surenchères à gauche ». Au chapitre du chômage et de la croissance, Marc-Antoine Jamet rappelle que François Hollande a été élu pour cinq ans : « Tout ne se fera pas en un an. »

Lire l’article sur Paris-Normandie.fr.

2 MAR 2013

« MAJ » tweet again à Moscou ! (Paris Normandie)

Après son déplacement au côté de François Hollande en Inde le mois dernier, Marc-Antoine Jamet, le bouillonnant maire PS de Val-de-Reuil, accompagnait cette semaine le chef de l’Etat dans son périple russe. Comme depuis New Delhi, « MAJ » a fait partager son voyage au plus près de François Hollande via son compte twitter. Cette proximité présidentielle lui vaut de se retrouver en photo dans Le Monde avec le locataire de l’Elysée. D’où ce commentaire du ministre de l’Intérieur rapporté par « MAJ » lui-même : « Valls me dit hier : T’es dans tous les bons coups, en photo avec FH dans Le Monde. » Et Marc-Antoine Jamet d’ajouter, un brin dépité : « Je découvre le titre : les difficultés du président!!! »

7 FEV 2013

« Verneuil-sur-Avre, Marc-Antoine Jamet à la rencontre des citoyens. Discussions autour des réformes mises en place. » (Paris Normandie)

La section du Parti socialiste (PS) d’Avre Iton a souhaité rencontrer les citoyens pour rendre compte du travail effectué par le gouvernement de Jean-Marc Ayrault et répondre à leurs questions. Marc-Antoine Jamet, premier secrétaire de la Fédération PS de l’Eure et vice-président du conseil régional est venu à la rencontre des citoyens du sud de l’Eure. Il a expliqué les réformes mises en place : emplois d’avenir, allocation rentrée scolaire, augmentation du nombre d’enseignants, rythme scolaire et la santé. Cette réunion publique était précédée d’un conseil fédéral du PS, instance parlementaire du parti, qui se réunissait pour la première fois à Verneuil-sur-Avre.

Retrouvez l’article scanné en cliquant ici.

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