ELLE l’a vue…

Grâce Loubassou est l’une des premières Rolivaloises du lycée Marc Bloch à avoir intégré Sciences Po suite à la signature en 2007 d’une convention d’éducation prioritaire que j’avais obtenue de Richard Descoings et de Laurent Bigorgne qui dirigeaient alors le célèbre établissement parisien. Grâce, âgée de 21 ans, termine actuellement sa quatrième année à San Francisco chez Séphora. Le magazine Elle l’a interrogée ces jours-ci sur l’actualité présidentielle : http://www.elle.fr/Societe/L-actu-en-images/La-victoire-de-Francois-Hollande-vue-par-les-etudiantes-de-Sciences-Po. On ne saurait mieux démontrer que, venant de la plus jeune commune de France, on peut devenir un pilier d’une grande école !

Val-de-Reuil / Workington : le jumelage « new age ».

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Elhoussaine Ouhlisse, conseiller municipal de Val-de-Reuil et professeur d’anglais dans le civil, Fabrice Barbe, directeur général des services de la Ville, Patrick Huon, directeur général adjoint et moi-même étions jeudi 9 mai, avec Conception Barbosa, la Présidente du Comité de jumelage, les invités de Workington, commune du nord de l’Angleterre, à quelques miles de l’Ecosse, avec laquelle nous sommes jumelés depuis 1997. Outre l’amitié qui nous unit, il y avait un prétexte à cette visite : l’investiture du nouveau Maire de Workington, Andrew Lawson, qui a la particularité d’être, à 21 ans, le plus jeune Maire du Royaume-Uni. La plus jeune commune de France a salué son investiture avec plaisir. Quelques images permettent de découvrir le protocole et le décorum très britanniques de la cérémonie. En cliquant ici, vous pourrez lire également les quelques mots d’anglais que je me suis permis de prononcer au cours de notre séjour pour remercier officiellement notre hôte, sa Ville et ses administrés qui nous ont réservé un accueil chaleureux.

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Des élèves de Ritterhude ont passé une semaine à Val-de-Reuil : « Hallo ihr Deutschen, ich bin ein Franzose » (Simon)

Du 16 au 21 avril, accueillis par Jonathan Devaux le Directeur de l’école Léon Blum et ses élèves, des écoliers de Ritterhude, la commune allemande avec laquelle notre commune est jumelée, ont passé une semaine en France, à Val-de-Reuil et, le temps d’une journée, à Paris entre Tour Eiffel et Jardin d’Acclimatation (un bon choix). Ces échanges sont nécessaires à l’Europe et à nos enfants. C’est pourquoi je choisis le 9 mai, journée de la fête de l’Europe, pour publier ce mot que j’ai reçu de la directrice allemande :

« Cher Monsieur le Maire, nous vous remercions de votre engagement et de votre hospitalité. C’était une semaine très agréable et une très bonne journée à Paris. Sur notre site il y a quelques photos de l’échanges. Ici, l’adresse : http://www.grundschule-ihlpohl.de/frankreich2012-04/. Cordialement. Tanja Jordan (Rektorin). »

Cliquez sur le lien. Chacun pourra découvrir des photos de la semaine et les germanistes lire, dans la langue de Goethe, le carnet de voyage de la délégation. Parmi les anecdotes recensées, le souvenir de la carte postale du jeune Simon écrivant à sa famille : « Hallo ihr Deutschen, ich bin ein Franzose. »

Shanghai is beauty foule.

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Je vais souvent en Chine. Plus d’une trentaine de fois depuis douze ans. Pékin, Canton, HongKong, Shenzhen, Chengdu, à quelques exceptions près, je n’en ai vu, hélas, que les villes. Grande muraille au soleil, cité interdite sous la neige et village lacustre au printemps, à quelques brèves évasions près, je n’ai fait qu’y travailler. En général, 48 heures d’hôtel et une palanquée de rendez-vous avec diverses administrations ont formé mon horizon. Ajoutons y un peu d’ambassades et de dîners obligés, un zeste de marchés de contrefaçons, des embouteillages en pagaille sur des périphériques dupliqués, des taxis sages ou azimutés, une somptueuse exposition universelle, des JO et des musées, un cent mètres dans les grands magasins et un soir ou deux à l’opéra, tout cela laisse guère le loisir d’un jour admirer les pandas et peu d’espoir de se perdre dans les fumeries d’opium. Mais, le plus souvent, j’y suis allé dans une délégation « officielle », pour négocier un marché ou accompagner une personnalité ce qui ouvre des portes aux autres fermées. Pour Laurent Fabius, j’ai passé -seul- les troupes en revue avec Jiang Zemin, le député de Grand Quevillly alors président de l’Assemblée ayant voulu protester contre une série d’exécutions décidées à Pékin. Avec Bernard Arnault, j’ai rencontré plusieurs fois Hu Jin Tao. Je fus le guide de son épouse qui visitait une entreprise du Groupe où je travaille. Avec Jean-Pierre Raffarin, nous sommes restés une heure à écouter Xi JiPing qui, après le prochain congrès du PCC, sera le nouvel empereur d’un milliard et demi d’êtres humains. Vision trop limitée pour devenir sinologue amateur, mais présence suffisamment répétée pour continuer d’être étonné au-delà du premier choc et voir quelques évolutions. Même si les voyageurs d’avant les quatre modernisations de M. Deng ont pu assister à des changements autrement plus radicaux et observer la Chine s’éveiller. J’ai constaté la fin des vélos, la multiplication des autos et la disparition des costumes Mao (sauf celui de Jack Lang !). J’ai mesuré l’ampleur de la pollution, la taille et le nombre des immeubles, l’arrivée de l’argent.

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Ma lettre aux Rolivalois en vue du second tour de l’élection présidentielle

Cliquez sur l’image pour lire la lettre en intégralité :

Le premier jour du mois de mai…

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« Vivement mai ! » C’est un cri que les socialistes de l’Eure lancent depuis des jours, des semaines, des mois. Nous y sommes et les militants de notre fédération l’ont débuté, rangs mêlés avec le Front de Gauche, les Verts, les Radicaux de Gauche, en participant, aux côtés de l’intersyndicale, au défilé du 1er mai à Evreux qui a réuni, pour la vraie, la seule, l’unique fête du Travail, près de 1 500 participants Pré du Bel-Ebat.

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Rêverie de Gauche et délires toulousains

Le Président sortant, qui entame l’ultime semaine de son premier et dernier quinquennat, ne peut pas être, uniquement, entouré des époux Balkany, de Didier Barbelivien et de l’ardent M. Buisson. On ne souhaiterait pareille torture y compris à son pire ennemi. A compenser ces redoutables cerveaux, Carla, au quotidien, ne suffirait pas.

Il existe donc, aussi, bizarrement, près de lui, pour « remonter le niveau » des gens talentueux, bien que paradoxaux, comme Henri Guaino. Ce dernier, habile bretteur, pratique le petit art subtil qui consiste à écrire des discours, à être la voix et le style d’un homme politique, à remplir cette fonction, naguère vouée à l’anonymat et à l’obscurité, aujourd’hui mise en avant, sans pudeur, à Gauche comme à droite, sous le titre de « plume » sans que l’on sache si celle-ci ne se fiche que dans les encriers.

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Big up François Hollande !

Annonciade, une des mes trois filles, avait fait son stage de troisième, cette année, rue de Solferino, au Parti socialiste. Depuis Madrid où elle est en échange linguistique, elle m’adresse cette vidéo « pas très sérieuse, mais très drôle ».

Elle est drôle, mais sérieuse aussi, partageons-la. Elle parle à notre ville. Il suffit de cliquer sur http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=BOXhp0BuaiM#.

Vernon, la fin du tour de l’Eure des réunions publiques de soutien à François Hollande

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Bruno Julliard, le leader de l’UNEF lors de la bataille contre le Contrat première embauche, devenu secrétaire national du parti socialiste en charge de l’éducation et adjoint au Maire de Paris, était l’invité de la fédération de l’Eure, de Philippe Nguyen Thanh le Maire de Vernon et mandataire départemental du candidat François Hollande, de Jean-Luc Piednoir le premier adjoint de la Ville et de François Bouillon militant de pointe d’Evreux.

Après Bernay, Louviers, Serquigny, Verneuil-sur-Avre, Pont-Audemer, Evreux, Gaillon, Bernay de nouveau, après le meeting régional de Val-de-Reuil, cette réunion a permis de conclure le cycle de rassemblements des socialistes eurois en insistant sur le thème prioritaire de la campagne de François Hollande : la jeunesse et l’éducation.

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Val-de-Reuil / Massy – Deux villes modernes pour le changement !

Le talentueux Jérôme Guedj, le tourmenteur de Henri Guaino qui parvint à le faire sortir de ses gonds, le plus jeune Président de Conseil général, est venu assister au meeting de Laurent Fabius à Val-de-Reuil mardi 24. Le lendemain, comme je lui avais promis, par amitié sincère pour celui qui fut mon ancien étudiant, par solidarité entre deux élus d’une ville nouvelle et parce qu’il est utile que se renforcent les rapports entre les fédérations, je suis venu assister au meeting de Martine Aubry que Jérôme, avec François Lamy et Carlos Da Silva le Premier secrétaire de la fédération de l’Essonne, organisait dans son fief à Massy. Cliquez sur l’image pour lancer quelques secondes d’une vidéo prise à la fin de ce meeting.