Un jardin dans l’écran

J’avais neuf minutes sur une télévision câblée pour parler du jardin d’acclimatation dont j’ai été, enfant, le visiteur, parent l’utilisateur, et dont je suis depuis 2004 le « manager ». C’est un lieu dont je parle peu, mais interrogé sur l’esprit de ce parc créé en 1860 sous Napoélon III, son actualité, ses projets, j’ai choisi d’en publier ici la vidéo qui vous en apprendra plus.

Coulisses d’un plateau

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J’étais dimanche soir, après avoir répondu aux questions de Paris Normandie et de France Bleu, sur le plateau de France 3 Evreux pour intervenir, en duplex, bref avec décalage de son et d’image ce qui n’est jamais facile, dans la soirée électorale de France 3 Haute-Normandie à Rouen.

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M’Real : un rendez-vous décisif s’est tenu à Bercy

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Eric Lardeur et Thierry Philippot, représentants de l’intersyndicale de M’Real, Gaëtan Levitre, le Maire d’Alizay et moi-même (qui avait été chargé par le collectif de mobilisation pour l’emploi à M’Real de solliciter et d’organiser le rendez-vous) avons été reçus ce vendredi à Bercy par Stéphane Israël, directeur de cabinet d’Arnaud Montebourg, Ministre du redressement productif, et Boris Vallaud, son conseiller. Durant près de deux heures, méthodiquement, sérieusement, nous avons étudié ensemble les offres existantes de reprise de l’usine d’Alizay et la façon dont l’Etat pouvait intervenir, chaque fois de façon différente, pour que les meilleures solutions puissent être trouvées tant en termes de montages financiers, de filières industrielles que de créations d’emplois. Une concertation des administrations centrales et du préfet de l’Eure est prévue pour que les consultations reprennent.

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On peut ne pas être toujours d’accord, travailler ensemble et rester amis.

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Au-delà des controverses ou des désaccords -il peut ponctuellement y en avoir-, au-delà même des contacts sérieux et des négociations acharnées pour que la France et ce qu’elle crée soient considérés, au-delà des discussions économiques  pour parler croissance, emplois, commerce et favoriser ainsi la construction, pièce par pièce, de cette mondialisation à l’envers qui permet à des ouvriers français qualifiés, souvent des femmes, de produire « made in France » et en Euros, parfois depuis des bassins d’emplois qui ont été en difficulté ou que la globalisation a enclavés, des marchandises, des biens que des consommateurs lointains payent en dollars, en yens ou en yuans, il se noue des amitiés, des proximités, des identités communes et inattendues. C’est le cas avec Kong Quan, l’ambassadeur de Chine en France, grand diplomate, grand lettré, grand francophone, inflexible sur les intérêts de son pays, probablement dur à manoeuvrer pour notre Quai d’Orsay, mais si subtil, si vif, si prévenant et intéressant quand, dans la vie quotidienne, loin des enjeux, si cela est possible sans naïveté, on discute avec lui. C’était le cas aussi avec Zhu Liying son premier conseiller qui s’en retourne vers Pékin. Trois secondes pour une photo souvenir. Nous ne vivons pas que dans une monde de brutes. Bonne chance à ce fonctionnaire sympathique et qui observait autant les changements incroyables de son pays que les évolutions, plus lentes, du nôtre. On peut  travailler ensemble, fatalement ne pas être toujours d’accord, conserver son indépendance et pourtant rester amis. Une leçon lointaine qui pourrait s’appliquer à notre petit coin de Normandie et que je fais mienne partout où je vais.

A chacun son cavalier, jubilez au Jumping de Val-de-Reuil ! (15, 16, 17 juin)

La Reine Elisabeth porte plus que beaux ses éclatants 86 ans. Mais, cet âge n’étant plus obligatoirement celui des exploits sportifs (encore que !), chacun n’est pas obligé de se souvenir d’avoir vu la souveraine cavalière galoper à la tête de ses « horse guards », cimiers au vent. Les plus anciens d’entre nous se rappellent pourtant que, comme sa fille, la « Queen » donna longtemps l’impression d’aimer autant ses montures que ses sujets. Symbole de cette tendre affection, le traditionnel derby d’Epsom ouvrit tout récemment son jubilé de diamant. Cette course hippique est le rendez-vous de l’aristocratie britannique. Entre redingotes et bibis, les chevaux y sont les rois d’une après midi.

Val-de-Reuil, en dépit de son nom, n’est pas royale, mais elle est cité loyale. Elle ne vit pas en monarchie, mais elle se plaît en république. Lords et pairs n’y courent pas les rues, mais la noblesse de cœur s’y accumule en quartiers. Nul n’y est seigneur par la naissance, mais sur nos armoiries pourraient s’inscrire bien des qualités. Parmi celles-ci, notre sang bleu nous fait obligation d’accueil et de bienvenue. C’est le plus agréable des devoirs. C’est pourquoi, route de l’ancien château, se tiendra, les 15, 16 et 17 juin, à la Ferme de la Motte, lieu d’histoire et de charme, aux normes toutes britanniques du développement durable puisque que le sable de rivière aidant -les pluies abondantes également, l’engazonnement n’y a nécessité qu’un faible arrosage-, une compétition équestre qui revendique le plus beau des couronnements : celui du public. Pour cette 3ème édition, plus de 5 000 visiteurs se presseront autour des pelouses et dans le village.

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L’univers des dinosaures

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On se souvient des violences, débordements et autres désordres dont s’est rendu coupable ce 5 juin le Front National à Andé où 80 militants socialistes, des Verts, du NPA, avec l’accord de la Gendarmerie -présente-, protestaient calmement contre le programme du Front national en distribuant des tracts aux automobilistes de la rue d’Herqueville. Sur les tracts un mot d’ordre principal : « Ne vous laissez pas avoir par le Front national. Ne leur donnez pas votre voix, elle se retournera contre vous ! »

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Une partie de campagne(s)

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Après les beaux résultats obtenus à Val-de-Reuil lors des élections présidentielles, rien de tel qu’un petit repas champêtre entre camarades, le 30 mai dernier, à l’Ile du Roy, pour remercier les militants. 43% au premier tour pour François Hollande, 72% au second, sans eux, rien n’aurait été possible. Merci à Catherine, Daniel, Josselyne, Dominique, Claude, Annick, aux Christophe, à Christian, Ilham, Bernard, Yoann, Olivier et à tous les autres, tous mobilisés derrière notre candidat pour cette formidable campagne. Ces retrouvailles étaient l’occasion également de reprendre des forces et de repartir avec du courage pour une dernière ligne « gauche », l’autre moitié du chemin qu’il reste à parcourir, l’essai qu’il faut transformer : donner au Président de la République, lors des élections législatives des 10 et 17 juin, la majorité dont il a besoin pour appliquer son programme. Pour cela, il faudra voter, dans la 4ème circonscription de l’Eure, François Loncle et Bruno Questel ! Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques jours. D’ici là il faut convaincre de voter et faire voter. Réunion ce soir à 18h30 avec nos représentants à la salle Jacques Monod.

En meeting à Conches avec Valérie Fourneyron pour la victoire de Jean Louis Destans et Elodie Desrues

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Avant le second tour de l’élection présidentielle, Laurent Fabius, le Ministre des affaires étrangères, nous avait avertis que, en déposant une seule enveloppe dans l’urne, le 6 mai dernier, nous utiliserions en fait « deux bulletins ». Un premier bulletin Hollande pour que la France se redresse et retrouve couleurs et valeurs dans la justice. Mais aussi un second bulletin pour éviter un second mandat qui serait, pour la droite, un mandat sans limite.

Avec Valérie Fourneyron la Ministre des Sports, de la Jeunesse, de la Vie associative et de l’Education populaire, avec Alfred Recours qui nous accueillait, pour Jean Louis Destans et Elodie Desrues, nous étions réunis ce soir pour un nouveau tournant. Le 10 et le 17 juin, il ne s’agira pas de participer à l’élection des « deux bulletins », mais de gagner la bataille du « deuxième bulletin ». Le deuxième bulletin, c’est celui que les électeurs doivent déposer dans l’urne pour que le Chef de l’Etat puisse appliquer son programme. Le changement c’est un moteur à deux temps. Il faut de l’air dans le carburateur de  l’Elysée et de l’essence dans le réservoir du Parlement. Sans ces deux pistons, pas de mouvement. La voiture du pays restera aux couleurs de l’UMP.

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Un arbre d’anniversaire pour Les Papillons blancs de l’Eure

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Les papillons blancs de l’Eure ont cinquante ans. L’association, au service des personnes en situation de handicap mental ou psychique, est plus âgée que la Ville Nouvelle. Notre histoire commune ne remonte qu’à 2006. A l’époque, les « papillons » ne parvenaient pas à s’implanter dans l’agglomération. Nous avions déjà donné un coup de main à l’association des paralysés de France qui était en butte aux mêmes difficultés et qui put s’installer sur les parcs d’activités. L’habitude était prise. Dirigeants, encadrants, salariés, chacun a été  heureux de s’installer à Val-de-Reuil. La Ville avait fait le choix alors de mettre gratuitement à disposition un terrain, chaussée de Léry, à côté d’une école et d’un verger pédagogique, un bel endroit, sur lequel l’ESAT a été construit.

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(Première) lettre du Premier Ministre pour Val-de-Reuil