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19 DEC 2013

Inauguration, avec la sous-préfète, avec l’association Epireuil et avec ses bénévoles, des locaux rénovés de l’épicerie sociale de Val-de-Reuil.

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Vendredi 20 décembre à 15h30, à l’invitation de Annick Gascher, la Présidente de l’association Epireuil, en présence de la nouvelle Sous-Préfète des Andelys, Alice Rozié, et du Conseil municipal, dont Fadilla Benamara, adjointe en charge des affaires sociales, et Michèle Combes, Vice-présidente du CCAS, ont été inaugurés les locaux rénovés de l’épicerie sociale de Val-de-Reuil, place aux jeunes.

Depuis 2012, un objectif commun a mobilisé une équipe déterminée et motivée : permettre à l’épicerie sociale de résoudre les importants problème de température intérieure, qui pouvait dépasser régulièrement 40°C, dont souffraient ses locaux, leurs visiteurs naturellement, sans parler de l’impact de cette chaleur sur la conservation des denrées alimentaires. Il fallait apporter une solution rapide et écarter l’option du déménagement. L’épicerie sociale devait rester sur la dalle, à proximité du CCAS et des antennes de service public réimplantées ces dernières années. Cet objectif, aujourd’hui, est atteint.

En 2012, l’association a demandé à la Ville qu’une solution puisse être trouvée. Des négociations entre la Ville et le bailleur social IBS, propriétaire du local, ont été entamées. Yves Laffoucrière, le Directeur général du Groupe 3F, a accepté mon invitation à se rendre sur place pour constater la difficulté qui n’était plus tenable. Des décisions ont été prises. IBS a accepté de financer les travaux nécessaires, réalisés en 2013 par les agents des services techniques de la Ville (faux plafond isolant dans le local de l’épicerie, nouvelle fenêtre dans une partie du local où il n’y avait aucune ouverture, grille d’aération dans la réserve, déplacement des toilettes qui a permis un gain de place). Les problèmes de température se sont améliorés. La température ambiante du local Epicerie a été abaissée.

L’association, grâce à l’implication de bénévoles qu’il faut saluer, féliciter et remercier, a prolongé ce réagencement : déplacement du bureau afin d’agrandir l’espace accueil, installation d’une cuisine adaptée aux ateliers de proximité, pose d’un nouveau sol dans la réserve afin d’améliorer l’hygiène nécessaire au stockage des denrées. Cette mobilisation générale est un exemple de solidarité. Elle a permis à l’association de mieux accueillir et assurer ses missions d’aides alimentaires. Elle lui permet aujourd’hui d’accueillir les bénéficiaires dans de meilleures conditions.

19 DEC 2013

Joyeux Noël à Val-de-Reuil !

19 DEC 2013

Réflexion

« Il faut faire de l’architecture avec des phrases longues, les phrases courtes sont celles de la propagande politique. » (Rudy Ricciotti, architecte). On ne me reprochera plus jamais de faire des phrases longues. Surtout lorsqu’il s’agit de parler de Val-de-Reuil.

18 DEC 2013

Invitation au grand rassemblement « Ville fleurie » samedi 21 décembre à 11h00 à Val-de-Reuil

Cher(e)s ami(e)s,

D’année en année, notre ville est plus belle et fleurie. Elle mérite amplement sa 4ème fleur qui déjà s’annonce. C’est pourquoi, la municipalité est heureuse de récompenser les plus beaux jardins et les plus beaux balcons décorés de notre commune.

Afin de saluer le travail des lauréats de cette compétition pacifique et bucolique, que notre jury a particulièrement apprécié pour leur créativité, un prix leur sera décerné. J’aurai, aux côtés du Conseil Municipal, le plaisir et l’honneur de le remettre Samedi 21 décembre 2013, à 11h00, dans l’Auditorium de l’Ecole de Musique et de Danse/SIEM, Voie de la Palestre, (devant le collège Alphonse Allais) à Val-de-Reuil.

Cette manifestation est ouverte à tous les jardiniers, ceux qui ont participé au concours comme ceux qui n’y ont pas participé, ceux qui ont un grand terrain et ceux qui ont un petit lopin, ceux qui ont la main verte et ceux qui révisent encore leur manuel de jardinage.

Vous y rencontrerez des professionnels.

Vous y retrouverez les membres de nos associations des jardins familiaux.

Vous y échangerez, trucs, astuces et secrets, entre passionnés.

Si vous aviez la moindre question sur cette manifestation, Mme Carol Lebourg 
(02.32.09.51.33 ou clebourg@valdereuil.fr) attend votre appel.

Nous vous attendons très nombreux pour ce dernier rendez-vous traditionnel de l’avant-Noël, ce joli bouquet final de l’année 2013  !

A samedi.

Marc-Antoine JAMET

Maire de Val-de-Reuil, Vice-Président du Conseil régional de Haute-Normandie

14 DEC 2013

Réunion de quartier Ariane – Clos Mathilde – rue du conquérant : la 17ème de l’année. Un mot d’ordre pendant 1h30 : poursuivre l’entretien, embellir le quartier, préparer la venue du futur éco-village.

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13 DEC 2013

Verbatim – live-tweet de la conférence rolivaloise de Lionel Stoleru.

(suite…)

11 DEC 2013

Verbatim – Live tweet de la conférence rolivaloise de Hubert Védrine.

(suite…)

10 DEC 2013

Une Rolivaloise s’en est allée.

Val-de-Reuil est triste. Très triste. La Ville a perdu une de ses habitantes les plus connues, les plus actives, les plus aimées. Huguette Perron est décédée au début de ce mois de décembre, arrachée, en quelques semaines, par une douloureuse maladie, à l’affection des siens.

Quittant Rouen, elle avait choisi parmi les premières, en 1977, de s’installer dans la Cité Contemporaine et, avec son mari, Henri, qu’elle avait épousé voici plus de 60 ans, ils occupaient, depuis, une jolie maison de Ville impeccablement entretenue non loin de l’école de musique et de danse.

L’âge était venu, mais n’avait pas diminué sa vivacité, ni sa curiosité. Elle était un pilier de la chorale, ne manquait pour rien au monde le repas des seniors, s’intéressait au comité de jumelages, assistait aux spectacles, aux événements, aux manifestations, sortait, discutait, avait une vie sociale riche et diversifiée. Elle avait, pour ce dynamisme et pour sa convivialité, l’estime et l’amitié de tous ses voisins de la rue Pierre Première, mais aussi de la municipalité toute entière.

Nous n’avions pas les mêmes opinions, mais, par des voies différentes, nous aimions la même ville. Plus que de tel ou tel camp, elle s’était, me semble-t-il, faite partisane de ce qui marchait, de qui préservait son cadre de vie, lui plaisait. Elle était devenue au fil du temps une figure, un visage symbolique de Val-de-Reuil. Elle en avait vécu la naissance, les difficultés, puis les transformations. Elle en incarnait l’esprit de résistance et les temps pionniers, mais observait avec optimisme le renouveau de ses quartiers. Élégante, souriante, elle manifestait le charme de notre commune  et affichait de manière constante et rassurante, une certaine gaîté.

Nous pensons à sa famille, à ses enfants et petits enfants, à ses proches. Nous pensons a son mari, à son chagrin, à sa douleur et restons à ses cotés. Que Huguette Perron repose en paix.

10 DEC 2013

Hommage à notre camarade et ami Guy Murvil.

Chers camarades,

La section de Pont-de-l’Arche, notre fédération toute entière et l’ensemble des Républicains, sa famille naturelle, sa famille d’engagement, sont aujourd’hui en deuil. Notre ami Guy Murvil, brutalement, nous a quittés et sa mort bouleverse les militants de notre Parti.

Avec son secrétaire de section, Jacques Calmon, avec son Maire Richard Jacquet, dont nous imaginons, sachant ce qu’était leur amitié, ce qu’est désormais leur tristesse, il était de tous les combats, ceux municipaux pour sortir sa commune de l’ambiguïté dans laquelle elle avait été plongée, ceux intercommunaux essentiels pour la croissance et l’emploi, ceux politiques qui mobilisent les hommes de grand cœur et de bonne volonté pour les causes qui le méritent, les combats d’une vie, les valeurs de la Gauche et du Socialisme. A la Fédération, avec les autres Archépontains, à chaque réunion, il savait mêler le recul que nécessitent la lucidité, l’ironie pertinente, l’esprit justement critique, et la bienveillance, le désir de rassemblement, le réflexe d’adhésion sans lesquels il n’est pas d’action politique efficace. Bien des yeux le chercheront longtemps là où, fidèlement, rue Joséphine, il se tenait. A chaque élection, sur le marché, dans le porte-à-porte, pour sauver M-Real et défendre les Tyco, il savait établir, en confiance, avec les habitants, les salariés, les administrés, un dialogue de vérité. Guy Murvil était une force et un atout pour nos idées. Son sourire et sa silhouette, son humour et sa voix, nous étaient devenus indispensables pour avancer. Sa personnalité est de celles qui ne s’oublient pas, singulière, unique, attachée à sa démarche et à sa pensée. Son absence ne s’en ressent que davantage à chaque instant. Les heures qui passent ne peuvent nous résoudre à sa disparition. Il était si vivant.

Présent, actif, décisif, c’était un militant sincère, chaleureux et joyeux de la Gauche, un partisan acharné de l’Eure, pays d’adoption qu’il avait choisi pour y poser ses valises et auquel il trouvait toutes les beautés. Apprécié de toutes et de tous, aimé des siens, il avait un caractère qui le portait vers le partage, vers le positif, vers le progrès. Dans les périodes difficiles, comme celle que nous traversons, il n’était ni amer, ni grinçant. Il faisait front. Avec courage. Avec détermination. Au nom de ses convictions. Il n’en changeait pas au moindre sondage défavorable, ni à la première mesure qui ne lui plaisait pas. Si son opinion se faisait divergente, c’était le temps du débat. Il y avait réfléchi et il était réfléchi. Il savait ce qu’il faisait.

Adjoint à l’équipement et à la sécurité, Guy Murvil se considérait comme en astreinte perpétuelle pour le service public, pour le bien commun, pour le collectif, c’est à dire pour les autres. Il avait fait de la solidarité de maître mot de son action. Il était de ces élus qui honorent la République, dont chaque habitant connait par cœur le numéro de téléphone et, parfois, l’adresse. Sa disponibilité était entière, incarnant tour à tour la part d’infirmier, de conseiller, de policier, de cantonnier, d’enseignant qui fait, dans nos villes, dans nos villages, la beauté d’un mandat obtenu par le suffrage universel. Son volontarisme était discret dans les mots, il n’imposait pas ses positions, mais réel dans ses gestes, car il accomplissait et c’est ainsi qu’il persuadait.

Je suis certain d’exprimer ici la pensée de tous nos camarades en disant l’absence qu’il va laisser et la douleur qu’elle provoque. Il comptait beaucoup d’amis et, dans ma propre section, ceux-ci étaient fiers qu’il les ait choisis pour être ses compagnons sur ce chemin qui nous unit. En ce moment de très grande et de très soudaine tristesse, la Fédération de l’Eure s’associe avec émotion au chagrin de la famille de Guy, à la peine de ses camarades de section, de ses proches. Au nom des socialistes de l’Eure, je leur adresse nos condoléances solidaires et fraternelles.

Marc-Antoine JAMET

Premier secrétaire fédéral

9 DEC 2013

Né quelque part.

Il y avait au siècle dernier – c’est du XXème que je veux parler – un sketch assez drôle dans lequel le narrateur, qui n’était pas bête « puisqu’il était douanier », se plaignait amèrement de tous ces étrangers qui venaient « manger le pain des Français ». Borné, jaloux, incapable, il était, l’air de rien, le porte-parole de la bêtise ordinaire, celle des racistes de tout crin et de tout poil, des poujadistes au front bas et aux naseaux fumants, des populistes de bas étage et à haut débit, de ces milliers de Dupont-la-joie qu’il nous fallait, avec leur petit pull « marine », endurer dans la vraie vie et qu’il faut supporter, désormais, à travers les blogs, les tweets, sur facebook, et snapshoots, dans l’univers du tutti quanti numérique que leur rancœur anonyme a malheureusement colonisé. La chute du sketch était simple. « L’étranger c’était le boulanger. Depuis on ne mange plus de pain ». Il m’arrive, depuis que je suis lancé dans la compétition municipale à Val-de-Reuil, de temps à autre, quelque chose du même ordre. Comme on ne peut pas m’attaquer sur mon bilan que, avec un peu d’honnêteté, on a du mal à critiquer, on me reproche d’être le métèque de service de notre jolie cité.

Je ne serais pas de Val-de-Reuil ? La belle affaire, personne n’y est né. Et pour cause ! Il n’y a pas de maternité. Les seuls véritables autochtones sont les enfants des parturientes pressées que, sur l’autoroute, les pompiers font accoucher. C’est un peu limité et très passager comme population. On considérera également que dans une ville cosmopolite, où beaucoup de nos concitoyens ont des parents qui ont vu le jour loin de la Normandie, ce débat est légèrement malsain. On se rappellera même que, face aux pionniers qui s’installaient dans la Ville Nouvelle, ce fut souvent la première des critiques de nos voisins qui, depuis Charles Martel, étaient à bon droit enracinés dans ce magnifique méandre de la Seine qui va d’Andé à Pont de l’Arche en passant par Poses et Tournedos. De certains Rolivalois, on osa souligner, mezzo voce, qu’ils n’étaient pas venus au monde du bon côté de la Méditerranée. Je me suis un jour fâché avec un édile de poids de notre intercommunalité qui proférait de telles insanités à l’encontre d’un homme qui a fait beaucoup pour que je vienne à Val-de-Reuil habiter. Tout cela reste au fond un peu idiot quand on songe que notre commune n’a, elle-même, été portée sur les fonds baptismaux qu’en 1985 et que personne, m’entendez-vous personne, ayant soufflé plus de 28 bougies sur son gâteau d’anniversaire ne peut s’autoriser à s’autoproclamer rolivalois de souche pure. Ce droit du sol sélectif qui devient le droit du sang local me fait d’ailleurs vomir.

On me dit que je n’habite pas, que j’y vis peu dans notre commune. Juste l’essentiel de ma vie… Pour Val-de-Reuil, il y a lundi à l’aube région, jeudi intercommunalité, vendredi rendez-vous institutionnels, samedi audiences habitants et mariages en blanc, dimanche nos nombreux événements, tous les soirs ou presque une réunion, vous m’excuserez du peu et quel rolivalois ne m’a pas vu arriver sur un accident ou quand il y avait le feu. J’ai musardé comme beaucoup, logé d’abord voie de Bas, au 27 tout un programme, à l’époque où elle était, façon Belfast au petit pied, un vague ligne de front pour de petits voyous, ensuite dans la quiétude de la rue du Coteau, puis dans les maisons dites Korangi, avant de trouver un endroit calme et tranquille où me poser sans qu’on frappe à ma porte pour un problème de vaches mal gardées. Et oui, il fait bon parfois être discret. Je note, pour en sourire et m’en féliciter pour eux car je suis heureux qu’ils soient heureux, que certains de mes contempteurs ont construit sur des terrains que j’ai lotis. Jolie performance pour un absent. Mais se sont-ils seulement rendu compte de l’ironie de cette histoire ?

Alors arrive l’estocade. Je n’aurais que distance et indifférence pour ma Ville. Val-de-Reuil, outre qu’elle est ma passion, est mon centre de vie et d’intérêt. Je l’ai étudiée en fac de géographie dès 1979. Qui dit mieux ? Je l’ai sauvée de la faillite avec Laurent Fabius. Qui dit plus ? Je travaille pour elle sans cesse, pour sa dette, pour son avenir, pour son image, pour son respect, l’arpente continuellement à toutes les heures du jour et de la nuit, en connais les moindres recoins, parfois les secrets, toujours les entrailles, circule autant dans son centre que dans sa périphérie, visite ses ateliers et ses usines, ses forêts et ses prairies, les endroits où nul ne va jamais, ceux que la police vous montre, ceux que la prison vous cache et ceux que l’armée interdit. J’y ai aidé quantité de gens, souvent des jeunes, pour une bourse, un stage, un emploi. Le Maire, il a un bon réseau, disent-ils en rentrant dans mon bureau. Cela ne marche pas à tous les coups et est plus dur qu’on ne le croit, mais cela vaut mieux qu’un maire qui n’en aurait pas du tout.

Val-de-Reuil, j’en parle tant au point d’en ennuyer certains, ne suis salué un peu partout, parfois aux antipodes, que comme le premier magistrat de la plus jeune commune de France et en suis fier, y ai laissé quelques plumes questions boulot et perdu quelques illusions côté ego. Le Président de la République m’appelle comme cela devant les indiens ou les japonais qui n’y comprennent rien, mais, lui, cela le détend, alors tant mieux, il en a besoin. Dans ma ville, je fais du sport, quand je n’y remets pas coupes et médailles, et, de nouveau, y courrai dès que mon genou sera opéré… à Rouen après les élections. J’y ai des amis sincères et des ennemis qui le sont plus encore. C’est dire. Je m’y présente aux élections depuis 14 ans et j’y vote. J’y représente mon parti et soutiens des candidats qui ne me le rendent pas (ou pas toujours). N’est-ce pas ainsi qu’un territoire devient terroir ? J’y ai mon compte en banque, à la caisse d’épargne s’il vous plaît, les livrets des mômes y furent ouverts, et j’y rembourse mes crédits (y compris pour faire campagne). Accessoirement j’y dépense mon salaire. Mon vieil Espace Renault, celui qui a remplacé le Voyager Chrysler aux sièges déglingués que j’ai donné à un club de la Ville, y est bien sûr immatriculé. Ma voiture d’entreprise aussi.

Pas d’attaches me dit-on ? Mes enfants y ont passé le Bafa, le permis, leurs stages, leur journée d’appel à Evreux etc. Ils n’y vont pas à l’école. Ma grande approche des trente ans et est avocate. Mon grand est ingénieur et part en Australie. Ma femme s’occupe régulièrement de nos seniors et, parfois, on serait étonné de l’identité de ceux dont on recueille la détresse au repas des aînés parce qu’un fils n’est pas assez attentionné ou un petit fils trop éloigné. « Il font leur sport plutôt que de me visiter» me disait récemment une charmante vieille dame esseulée dont on n’aurait pas cru qu’elle fut de mes partisans. Excusons ceux qu’elle visait. Ces propos sont assez communs et souvent infondés. Ma mère aussi me disait cela avant qu’elle ne meurt brusquement. Sauf qu’elle me reprochait d’être toujours à m’occuper de Val-de-Reuil plutôt qu’à l’assister. Que dire des vivants ? Mon père habite Comteville dans l’Eure depuis dix ans au moins et s’y sent bien. Il va chercher ses journaux dans la Ville de Jean-Louis Destans, mes beaux-parents dans la communauté de communes d’Ezy là aussi dans l’Eure, la grand-mère de ma femme est décédée à la Couture-Boussey dans l’Eure. Un genre de grand chelem !

Non vraiment, on ne fait pas plus Eurois et Rolivalois que moi, ma foi.

© 2011 Marc-Antoine Jamet , Tous droits réservés / Wordpress