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30 JAN 2014

Un dossier « spécial immobilier à Val-de-Reuil » auquel ni L’Express ni Le Nouvel Observateur ont eu accès.

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Pendant que le nombre de logements grandissait pour accueillir toutes les familles et toutes les générations, que la mixité sociale s’insérait, que les quartiers progressivement étaient rénovés et embellis, notre Ville a attiré de nouveaux habitants, les logements des Rolivalois ont pris de la valeur, le nombre de ventes annuelles a doublé en dix ans. Voici les trois premiers enseignements d’un dossier « spécial Immobilier à Val-de-Reuil » auquel ni L’Express ni Le Nouvel Observateur ont eu accès. Cette note vient tout droit du service urbanisme de la Ville. Je la livre telle quelle. Elle intéressera de nombreuses familles.

EVOLUTION FONCIERE DEPUIS 2001 A VAL-DE-REUIL

2000/2001 : des prix très bas et en dessous des communes voisines

En 2001, les prix étaient très bas à Val-de-Reuil. Les maisons en zone pavillonnaire se vendaient entre 70 000€ (le Parc, la Voie Blanche) et 100 000€ (Le Cavé, Les rives de l’Eure, Corsaire). Les maisons de ville se vendaient moins chères sur la dalle (45000€) qu’au Cavé où elles se vendaient aussi chères que les pavillons (80 000€) en raison du calme de ce quartier. Les appartements, principalement situés sur la dalle qui était assez dégradée à l’époque, se vendaient à des prix très bas et nettement inférieurs au marché (320/350€/m²).

2002/2007 : Val-de-Reuil rattrape son retard petit à petit

Sur cette période, la ville a suivi la tendance nationale à l’évolution mais à un rythme plus soutenu. Les prix des maisons de ville ont augmenté en suivant la tendance nationale (hausse entre 20 et 30% selon les quartiers). Bien qu’elle soit assez importante en pourcentage, les prix restent modérés compte tenu de la grande taille de ces logements. Ce phénomène peut s’expliquer par la mise en vente de nombreux logements de ce type par des bailleurs notamment à la Trésorerie (Foyers Stéphanais) et rue de la Plaine/vallées (Plaine Normande).

En revanche, les pavillons sont devenus très attractifs puisque les prix ont doublé (Cavé, Raquet, Voie Blanche, Rive de l’Eure) voire quasi triplés pour le quartier du Parc redonnant confiance aux propriétaires. Si les premiers effets de l’ORU/ANRU se font sentir, c’est surtout la raréfaction de la mise en vente des terrains sur les Communes alentours (Léry/Vaudreuil/Pont de l’Arche) qui contribue à faire venir de nouveaux habitants sur la ville.

Concernant les appartements, les prix ont augmenté sur la Garancière (+40%), mais les prix restent très faibles compte tenu de la vétusté de cette copropriété (prix moyen 450€/m²) qui sera rénovée dans le PNRU2. Sur les appartements du 41 rue Traversière, les effets de l’ANRU se font sentir car les prix ont grimpé passant de 355 à 1130€/m². Il faut rappeler que la rue Traversière était la première à être rénovée.

2007/2013 : Les effets de la crise immobilière, mais pas que…

La période récente est assez particulière. Les pavillons dans l’ancien, dont les prix étaient devenus très élevés ont légèrement reculés et se vendent désormais entre 180 000€ et 200 000€ c’est-à-dire à des prix équivalents à ceux des communes voisines (Léry/Poses/Vaudreuil). Le nombre de vente dans ce créneau a diminué et les pavillons restent un peu plus longtemps sur le marché. Ce plafond de vente est simple à comprendre puisque le prix encore attractif des terrains vendus en lotissement (50/60 000€) fait que les ménages se tournent désormais vers les logements neufs mieux isolés (BBC ou RT2012). Le quartier du Raquet est particulier avec un montant moyen de 140 000€ dont les raisons sont difficiles à comprendre (peur du futur quartier de la Ferme Equestre ?).

Pour les appartements, les prix dans l’ancien continuent à progresser (1250€/m²) mais restent en dessous des nouveaux programmes livrés sur la période (NEXITY voie de la Nation et CONSTRUCTA route de Louviers) dont les prix dépassent les 2000€. Ici aussi, un alignement se fait avec les communes voisines.

Pour les maisons de ville, le nombre de vente a considérablement augmenté sur la période, de même que les prix (entre 125 000 sur le germe de ville et 155 000€ au Cavé). Cette tendance s’explique par le fait que les banques prêtant moins facilement, les ménages se recentrent sur des biens moins coûteux, faisant ainsi augmenter les prix de vente (l’augmentation de la demande fait augmenter les prix). Du reste, les nombreux logements vendus par les bailleurs depuis 2002 ont densifié le nombre de biens disponibles. Ce phénomène a d’ailleurs contribué à faire nettement s »accroître les prix sur la première couronne entourant le germe de ville.

29 JAN 2014

L’hélice et arrivée.

27 JAN 2014

Val-de-Reuil rend hommage à Ernest Martin.

En un mandat, le docteur Ernest Martin aura durablement marqué Louviers de son action, de son empreinte. Les Lovériens, unanimes, mais leurs voisins également, se souviennent de son engagement comme de sa personnalité originale. Les nombreux hommages qui convergent vers sa famille en témoignent.

Il était devenu au fil des années l’exemple, la référence, le modèle de tout projet municipal pour suivre sa voie ou s’en démarquer, autre manière de dire son importance. A chaque conquête de la Mairie, son nom était invoqué. Certains pour le blâmer. Très majoritairement pour le louer et s’en inspirer. Mais le fait est qu’il n’avait laissé personne indifférent, important les idées neuves, ouvrant des perspectives, abordant avec courage des sujets que la politique, avant lui, ne traitait pas, incarnant ce besoin de changement, ce désir de transformation de la société qu’il avait compris. Épris de liberté, parce qu’il vivait avec elle, avec l’équipe singulière, la majorité, qu’il avait réunie autour de lui, il avait senti son époque. Peu nombreux dans l’Eure sont ceux qui pouvaient en dire autant.

Val-de-Reuil, son Conseil municipal, la Municipalité s’associent à la peine des Lovériens, au chagrin de sa famille et de ses amis et présentent leurs condoléances à son fils Franck Martin.

25 JAN 2014

Grands Prix de Val-de-Reuil

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Ce samedi, Val-de-Reuil a été récompensée à deux reprises lors de la cérémonie des grands prix de l’architecture de Haute-Normandie. On retrouve deux fois le nom de la ville nouvelle au palmarès de cette édition 2014. Val-de-Reuil a d’abord reçu le « prix du lieu de travail » pour la qualité de ses nouveaux Ateliers municipaux et les conditions de travail qu’il offre à ses agents. Bravo à son concepteur, l’architecte américain – et francophile – James Cowey, de l’agence « Studios Architecture », qui a réalisé un bâtiment précurseur et accélérateur de l’extension de la ville vers la gare. Deuxième récompense pour Val-de-Reuil, toujours ce samedi, une « mention spéciale du jury », non décernée habituellement et non prévue cette année encore, attribuée, tant la réussite est belle, à Lydie Chamblas pour le travail d’aménagement extérieur du quartier de la Grosse Borne. C’est ce travail sur le paysage, l’ouverture de l’espace et son verdissement que nous avions présenté au Président de la République lors de sa venue dans notre Ville. Son travail est publié sur ce site. Je vous invite à le retrouver en quelques clics. Les organisateurs de cette récompense nous ont fait monter sur scène. J’ai dit aux deux architectes, devant Frédéric Sanchez, le Président de la CREA, Nicolas Mayer Rossignol, le président de la région, et Yvon Robert, le Maire de Rouen, qui nous accueillaient, combien les Rolivalois leur étaient reconnaissants de leur travail et de leur attention pour notre Ville.

23 JAN 2014

Pour créer des emplois

Pour créer des emplois, comme Sophie Buquet-Renollaud d’Evreux et Mélanie Mammeri de Haute Normandie, à mes côtés sur la photo, j’agis concrètement par la Cosmetic Valley, avec  ses partenaires publics et privés, préfets, maires, députés, entrepreneurs, universitaires.

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21 JAN 2014

L’Ambassadeur d’Afrique du Sud nous a écrit un gentil message pour remercier les Rolivalois de leur hommage à Nelson Mandela.

21 JAN 2014

Conférence exceptionnelle de Michel Wieviorka, sociologue, directeur de l’école des hautes études en sciences sociales, administrateur de la Fondation « Maison des sciences de l’Homme », vendredi 24 janvier à 15h00 au théâtre des Chalands à Val-de-Reuil.

La crise économique et ses répercutions sociales, en premier lieu le chômage de masse qu’une partie du continent européen subit depuis le premier choc pétrolier, c’est à dire depuis 40 ans, la mondialisation et la perte des repères nationaux que ressent une large partie des vieux Etats Nations, l’évolution, au XXIème siècle, vers une société différente dont l’école, l’entreprise, la famille ne sont plus les frontières intangibles, le désaveu des politiques et la défiance à l’encontre des élites qui font surgir d’autres héraults, la montée des individualismes et l’apparition, sur de nouveaux médias, de circuits d’information courts, fragmentés, constituent autant de phénomènes qui, cumulés, ont fait renaître ou apparaître, à travers les mouvements du « Tea Party » aux Etats Unis, de Beppe Grillo en Italie, de Marine Le Pen ou d’autres en France, mais aussi en Europe centrale, en Scandinavie, un populisme contemporain puisant à ces sources idéologiques traditionnelles, n’ayant rien de populaire, mais se donnant l’apparence de la modernité pour séduire des publics différents urbains et ruraux, jeunes et vieux, féminin et masculin, de celui qu’il recrutait autrefois.

Pour comprendre et analyser cette évolution, pour jauger de la menace qu’elle représente pour la démocratie, pour la République, Michel Wieviorka, nom illustre, en France et à l’étranger, des Sciences humaines, sera notre invité vendredi 24 janvier à 15h00 au Théâtre des Chalands à Val-de-Reuil. Nous l’écouterons. Nous l’interrogerons.

Auteur d’un ouvrage récent sur l’histoire et le comportement du Front national : Le Front National, entre extrémisme, populisme et démocratie (2013), il nous dira sa définition et sa vision du populisme, mais aussi quels sont ses dangers, quelles sont ses impasses.

Vous êtes, comme à l’accoutumée, après la venue de Hubert Védrine, après la conférence de Lionel Stoleru, avant, en septembre, une rencontre avec Annie Ernaux, les bienvenus pour cette troisième conférence Marc Bloch de la saison 2013/2014.

A vendredi. Retrouvons-nous nombreux.

Jean-Pierre CANTRELLE, Proviseur du lycée Marc Bloch

Marc-Antoine JAMET, Maire de Val-de-Reuil, Vice-président du Conseil régional de Haute-Normandie.

 

21 JAN 2014

BERNARD FRAGNEAU, HOMME LIBRE ET GRAND SERVITEUR DE L’ETAT

Bernard Fragneau était un grand serviteur de l’Etat et un homme libre. A son pays et à l’administration, il avait donné son intelligence, sa force de travail, son originalité aussi, ce goût des solutions inattendues, cette manière de débloquer une situation, par une pirouette soigneusement élaborée ou totalement improvisée, construisant un compromis ou bien au contraire créant une rupture avec laquelle la crise s’achèverait. Sans doute sa nomination, voici quelques années, après avoir été à la tête des administrations de deux belles régions, à Poitiers et à Orléans, dans le groupe de réflexion sur l’axe Seine et le Grand Paris, dossier compliqué s’il en fût, où s’affrontaient les grands élus, n’était-elle pas sans lien avec cette capacité d’invention, trait de caractère qu’on ne prête pas toujours à la haute fonction publique. Il n’était pas atypique que par sa silhouette, mais par sa manière de faire, de trancher et de parler. Du Maire le plus influent au colonel de Gendarmerie, en passant par des chefs d’entreprise ou des responsables d’association, jusqu’à une candidate à l’Elysée ou un Président de la République auquel il n’hésita pas à remettre sa démission s’estimant désavoué, chacun avait dû, un jour, subir ses foudres et ses bons mots qui confinaient -joyeusement- à l’insolence et témoignaient d’un tranquille irrespect des hiérarchies assises et d’une indifférence assumée aux suprématies établies. Courageux ou inconscient, il ne reconnaissait que l’esprit. Pour cela ou malgré cela, il était aimé de ses collaborateurs et apprécié de ses administrés. A Evreux, il avait été en poste bien plus longtemps que les trois années traditionnelles d’ordinaire dévolues à ses pairs. Entre Besançon, qu’il avait aimé, et Evry, où il allait connaître le futur Ministre de l’Intérieur, il s’était, devant la durée de son immobilité, par dérision, par ironie, par contrariété aussi, proclamé « Champion du Monde des Préfets de l’Eure ». Objectif, impartial, ne manquant pas de hauteur et de mordant, ayant le sens de ce qui est important, il ne cachait pas regretter les temps d’avant la décentralisation où tout, de l’ordre public au développement économique, se déroulait dans le bureau du Représentant de l’Etat. Par son influence et sa force, il s’évertuait, ouvertement, à retrouver cet espace de décision. C’était un homme libre par ses idées, son attitude, ses gestes. La moto américaine qu’il chevauchait volontiers à Avignon ou ailleurs, la pipe que, alternativement, il fumait et tenait entre ses mains, sa large moustache, ses yeux qui pétillaient et sa taille impressionnante avaient, au fil de ses pérégrinations préfectorales, créé un étrange et attachant personnage où se mêlaient l’honnête homme à la française, l’anglo-saxon flegmatique, le grand commis désintéressé, un calme bourgeois de province et le caractère frondeur d’un titi parisien. En étant un des architectes fondateurs de son renouvellement urbain, il avait beaucoup fait pour Val-de-Reuil et les Rolivalois. Bernard Fragneau a choisi de se donner la mort cette nuit et cette fin tragique lui appartient. La plus jeune commune de France a perdu un ami vrai, bourru et sincère. Ce matin, je pense à lui, à son épouse, à sa famille.

20 JAN 2014

Val-de-Reuil que j’aime, c’est Marlène Boucat qui franchit la ligne du 5000 mètres de Santa Monica sous nos couleurs.

20 JAN 2014

Val-de-Reuil que j’aime, le piano de la SNCF pris d’assaut à la gare !

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