1
JUIN
2015

22
MAI
2015
« La Motion A majoritaire dans l’Eure : la victoire de l’unité et du rassemblement »
Les militants socialistes de l’Eure, comme l’ensemble des militants socialistes de France, se sont prononcés, hier, sur ce que doit être l’orientation politique de notre Parti. Dans la perspective du Congrès de Poitiers, ils ont très largement fait le choix de la Motion A, celle dont Jean-Christophe Cambadélis est le premier signataire, celle qui bénéficie du soutien de Martine Aubry, Laurent Fabius, Julien Dray ou Claude Bartolone, celle dont j’étais le mandataire fédéral. J’en suis heureux. C’est une décision très importante pour la réussite politique des 24 mois qui séparent François Hollande, son gouvernement, sa majorité, ses soutiens de la prochaine élection présidentielle. Il faudra alors, avant toute autre considération, battre la droite et l’extrême droite. La ferme expression de cette priorité absolue est une des significations majeures du scrutin. Les militants veulent un parti uni et rassemblé, parce qu’ils veulent un parti fort et victorieux.
Dans notre département, près de 60% d’entre eux se sont rendus dans les urnes. Ils avaient déjà fait entendre leur voix, quatre semaines durant, à l’occasion des nombreux débats organisés par la Fédération et avec les représentants de chacune des motions sur les idées et les valeurs d’un socialisme moderne. La discussion a été ouverte, intéressante, souvent d’un niveau élevé. Nos invités, Guillaume Bachelay, Dominique Bertinotti, Michel Pouzol se sont montrés de redoutables orateurs. Il est donc normal que la participation au vote ait été bonne et, même, supérieure à celle enregistrée au niveau national. C’est une réussite inhabituelle pour l’Eure à laquelle je veux associer les mandataires départementaux des deux autres motions. Ils ont, dans un esprit de travail, de sérieux et de responsabilité, concouru à faire de la première partie de notre Congrès un succès collectif. Contrairement aux échos – aux origines très individuelles et très périphériques – parfois entendus à l’extérieur, c’est dans la convivialité et sérénité, sans le moindre incident, sans le moindre temps mort, que s’est construit le dialogue permettant à tous de se forger une opinion. Cette atmosphère ne doit pas disparaître. Les voix des représentants des quatre motions seront demain, dans des instances fédérales renouvelées à proportion des résultats enregistrés hier dans l’Eure, écoutés et respectés. En tant que premier secrétaire fédéral, comme je l’ai toujours prouvé au cours des trois dernières années, je m’y engage à nouveau.
Avec 70,12 % des suffrages, la motion A est arrivée en tête dans notre département. Elle enregistre là – c’est inédit – son score le plus élevé dans notre Région et l’un de ses meilleurs scores au plan national. Là encore, ce n’était pas la règle. J’y vois une confirmation de l’élan et du dynamisme nous avons souhaité mettre en œuvre avec l’équipe fédérale qui m’entoure. Cette victoire repose d’abord sur celles et ceux qui, par leur confiance, en sont les premiers artisans. Ils ont incarné et amplifié le rassemblement qu’avec la majorité des élus, des secrétaires de section et des militants de notre Fédération nous avons proposé. C’est ainsi que notre formation politique est demeurée, malgré ses revers aux dernières élections locales, solide, forte, audible. C’est un vote d’adhésion qui réaffirme que la réussite de notre parti passera, non par un changement de cap brutal qui conduirait à la confusion et à la division, mais par une action plus lisible, plus visible, plus à Gauche. Les engagements tenus depuis trois ans sont là pour nous le rappeler. Sachons, avant d’en critiquer les modalités, en rappeler les objectifs atteints aux électeurs, aux citoyens, aux Français dont les attentes, les doutes et les inquiétudes sont réels et légitimes. Nous voulons à la fois l’efficacité gouvernementale et le respect des ambitions du Bourget. Ce double enjeu implique d’infléchir la politique économique et sociale du gouvernement, de renouer le dialogue avec nos partenaires pour bâtir une alliance forte, durable qui ne soit pas qu’électorale, d’évoluer pour ouvrir davantage nos sections, le tout afin que le Parti socialiste doit redevienne la maison commune de la Gauche.
Jeudi prochain, avec l’élection du premier secrétaire national, je souhaite que pour concrétiser les idées, les propositions qui, dans l’Eure particulièrement, ont été définies soient constituées autour de Jean-Christophe Cambadélis une direction nationale forte et cohérente, une équipe riche de ses sensibilités et des ses réflexions.
Jeudi prochain, je souhaite que la belle liste, paritaire, rajeunie, renouvelée, légitime représentant tous les territoires de notre département, qui, derrière Nicolas Mayer Rossignol, portera les couleurs de la Gauche socialiste aux élections régionales soit largement approuvée.
Le 11 juin, je souhaite que, en cohérence, en unité, l’élection du premier secrétaire fédéral soit une confirmation de la confiance placée hier par les militants dans le renouveau, dans l’unité et le rassemblement, dans la convivialité et le respect des militants, dans le travail collectif, dans la démarche militante et solidaire.
Ce seront trois premiers signes adressés à la Droite euroise. La victoire du collectif face aux replis individuels, aux aventures personnelles, aux trajectoires aléatoires, c’est, aussi, un des enseignements de ce vote. C’est le message fort envoyé par les militants hier soir. C’est celui qu’il nous faut tous appliquer.
Communiqué de presse de Marc-Antoine Jamet, Premier secrétaire fédéral
Mandataire départemental de la motion A
21
MAI
2015
S’EN PRENDRE A DES ENFANTS POUR PROVOQUER LEURS PARENTS :
UNE CARICATURE DE LACHETE
On peut penser exactement ce que l’on veut des caricatures ou des dessins qui, dans Charlie-Hebdo ou ailleurs, se moquent de la religion, des mœurs ou de la politique. On est obligé ni de les regarder, ni de les apprécier. Cela relève de la plus élémentaire liberté de pensée. En revanche, il est insupportable de les utiliser sciemment comme des provocations, comme des discriminations, comme des intimidations. Ce comportement devient intolérable, inadmissible, lorsqu’il consiste à s’en prendre à tel ou tel, en fonction de sa race, de ses opinions, de ses croyances, qui plus est dans une école publique, qui plus est à l’encontre d’enfants, qui plus est à Val-de-Reuil où 16.000 habitants issus d’une soixantaine de pays vivent en parfaite intelligence.
La distinction entre ce que chacun, pour peu qu’il respecte les lois en vigueur, a le droit d’écrire et de publier, d’une part, et ce que chacun, éventuellement en alertant les tribunaux, peut critiquer, discuter, refuser d’approuver ou, même, de considérer, d’autre part, s’impose à l’ensemble des citoyens ou des étrangers qui résident sur le territoire de la République Française. Cette ligne de partage est aux fondements des notions de liberté et de laïcité qui sont nos valeurs communes. Dans le respect de la réglementation qui en prévoit naturellement les nécessaires limitations, voire les exceptions, elles encadrent notre société, notre nation à l’instar des idées de solidarité, d’égalité et de fraternité.
C’est pourquoi je veux condamner sans la moindre ambiguïté cette main malveillante, cette action isolée qui a permis de glisser -anonymement- une enveloppe dans le sac de deux petits élèves de l’école maternelle Coluche afin de les choquer, de les heurter, de faire mal à leur famille. L’intention d’offenser dépasse ici la matérialité des faits. Cette lâcheté n’a aucune excuse que ce soit à Val-de-Reuil ou dans toute autre école de notre pays ! Ce sont des enfants !
C’est parce que je vois dans cette démarche bêtise profonde, méchanceté gratuite, volonté de nuire que j’exprime ma solidarité entière aux familles et aux enseignants concernés. Les recevant aujourd’hui en Mairie, je leur dirai, à la fois qu’il leur faut garder leur calme comme devant toute situation, face à cette agression morale qui les visait peut-être davantage personnellement qu’en raison de leurs convictions spirituelles (que par ailleurs je ne connais pas) et, plus important encore, que tout est mis en œuvre pour assurer, face à des adultes mal intentionnés, la sécurité de tous les écoliers rolivalois, aux abords et à l’intérieur de nos 14 écoles, trois collèges et de notre lycée. En lien étroit avec l’Inspection Académique, j’ai pris la décision premièrement de renforcer la présence des médiateurs et de la police municipale dans l’école, deuxièmement de limiter la circulation des adultes dans les établissements du premier degré. La sécurité, qui protège les plus faibles, les plus petits, est le droit et l’affaire de tous.
Communiqué de Marc-Antoine JAMET
Maire de Val-de-Reuil, Vice-président du Conseil régional de Haute-Normandie
23
AVR
2015
Le 1er janvier 2016, Haute et Basse ne feront plus qu’une seule Normandie. Depuis un an, sous l’égide de Laurent Beauvais et Nicolas Mayer-Rossignol, les Conseils régionaux préparent cette union. De nombreuses politiques sont déjà mises en commun. Une gouvernance simple associant élus et société civile est en place. Trente réunions publiques se sont tenues. Le premier budget normand est en préparation. La dette est maîtrisée, le déficit nul, les dépenses de fonctionnement raisonnables, les investissements soutenus. Nous avons anticipé et c’est tant mieux pour les Normands.
Nous devons aujourd’hui faire des choix pour l’avenir. Bâtir une Région forte, fière d’elle-même, ancrée dans l’Europe, ouverte sur le monde. Une Région dotée d’une vision et tournée vers le futur: celui de la transition énergétique, des infrastructures modernes, des filières agroalimentaires d’excellence, du tourisme, de l’économie de la connaissance, de l’emploi et du progrès durables. Une Région solidaire où les Normands, où qu’ils soient, vivront mieux car ils auront facilement accès aux services dont ils ont besoin: transports, médecins et hôpitaux, internet, culture, sport… Nous devons bâtir une Normandie où chaque territoire, de Vire à Gaillon, d’Alençon à Blangy-sur-Bresle, sera respecté, écouté, accompagné.
Le Gouvernement vient d’engager la réforme des administrations de l’État. Un Préfet préfigurateur est nommé, la concertation débute. Le souci d’équilibre et d’unité qui nous anime doit se traduire dans l’organisation de notre nouvelle Normandie. Il nous faut allier efficacité dans le fonctionnement, sobriété dans les dépenses et proximité des services publics. Deux écueils sont à éviter: la dispersion, c’est-à-dire l’usine à gaz; et la division, c’est-à-dire Clochemerle.
Alors que des élections approchent, les mêmes qui n’ont pas voté pour la réunification tentent de raviver les vieilles querelles stériles: Rouen contre Caen, Haute contre Basse… Ce n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pas question de laisser notre Région, à peine réunifiée, de nouveau divisée! Comment ne pas voir que Rouen, Caen, Le Havre, Cherbourg, sont complémentaires et ont tout intérêt à travailler ensemble? Pour être efficace, le bon sens commande de s’appuyer sur les atouts de chacun. Pour les additionner, non les soustraire.
Rouen, c’est notre Métropole. Comme Rennes en Bretagne ou Nantes en Pays de Loire, c’est une force pour notre Région. Avec un bassin de vie de 500 000 habitants au cœur de la vallée de Seine, Rouen devrait logiquement accueillir le chef-lieu de la Normandie. Le Président de Région et le Préfet, par les fonctions qu’ils exercent, doivent pouvoir travailler ensemble facilement. Ce qui n’empêchera nullement le Conseil régional de siéger à Caen s’il le décide, comme le prévoit d’ailleurs la loi. Quant aux services, ceux qui veulent les regrouper en un seul site se trompent. Gérer les lycées de Granville depuis Rouen, ou ceux de Dieppe depuis Caen, construire à grands frais de nouveaux bâtiments pour les personnels déplacés, n’auraient aucun sens ! Ce serait inefficace et coûteux pour le contribuable. Les services régionaux doivent majoritairement rester là où ils sont aujourd’hui, assurant les missions de proximité qui sont les leurs. C’est essentiel pour l’équilibre de la Normandie. Nous nous y engageons.
Caen, c’est notre “Grenoble normande”. Avec le siège du CNRS, des équipements de pointe comme le GANIL, deux pôles de compétitivité, une économie tertiaire dynamique, l’agglomération caennaise est d’ores et déjà identifiée comme une référence en matière d’innovation et de création. L’éducation et la culture, la recherche, la santé, l’agriculture sont des marqueurs de l’identité caennaise que nous devons valoriser. Les sièges des administrations concernées de l’Etat auraient tout leur sens dans cet environnement.
Le Havre, c’est l’un des tout premiers ports d’Europe. Son rôle est stratégique au cœur de la Normandie. Porte d’entrée maritime, première place logistique, à la pointe dans les énergies, l’économie circulaire… Nous devons investir pour faire de l’agglomération havraise le champion de l’industrie durable: terminaux portuaires, pôle multimodal, fret ferroviaire… Le Havre serait dans cette perspective le siège naturel d’HaRoPa, regroupement des grands ports de la vallée de Seine.
Cherbourg et le Cotentin enfin, qui pourraient utilement accueillir les affaires maritimes, doivent apporter à l’ensemble normand à la fois l’ouverture vers l’océan et la capacité à attirer des activités et des technologies de demain, notamment dans les énergies marines.
Rouen, Caen, Le Havre, Cherbourg. Voilà une organisation équilibrée, dont la vallée de Seine et la Ligne Nouvelle Paris Normandie (LNPN) constituent l’ossature. Grâce à notre mobilisation, la LNPN figure au rang des priorités nationales et n’a jamais autant progressé. Les efforts doivent redoubler sur l’axe Caen-Rouen et sur les trois liaisons de Paris vers Argentan-Granville, Vernon-Rouen-Le Havre, Evreux-Caen-Cherbourg. Nous le disons avec force : si nos trains régionaux (TER) sont parmi les meilleurs de France, la Normandie a besoin de liaisons nationales plus performantes. L’Etat doit s’engager en ce sens.
N’oublions pas l’essentiel! Deux tiers des Normands n’habitent ni au Havre, ni à Caen, ni à Rouen, ni à Cherbourg. A eux aussi s’adresse notre projet Normand. Dans le sud Manche, l’Orne et l’Eure, dans les Pays d’Auge, de Caux, de Bray, dans tous les territoires frontaliers sans oublier le littoral autour de Dieppe, Ouistreham, Fécamp, Le Tréport, Granville… la future Normandie devra défendre l’emploi, notamment l’agriculture, la pêche, le tourisme, soutenir les bassins industriels, développer la formation, conforter les services publics. Seule la Région pourra demain jouer ce rôle d’impulsion et d’équilibre. Ce sera notre priorité.
La Normandie n’est jamais aussi forte que lorsqu’elle est rassemblée. French Tech, Normandie Impressionniste, démarche ‘vallée de Seine’, Communauté universitaire… Ces exemples, et beaucoup d’autres, démontrent que notre union fait notre force. Opposer les territoires, abaisser le débat, c’est nuire à notre Région en répétant les erreurs du passé. En Normandie, ce qui est ‘capital’ ce sont les Normands! Ensemble tournons le dos aux postures, aux « guéguerres », et disons ‘oui’ à la Normandie.
Parmi les premiers signataires:
Nicolas MAYER-ROSSIGNOL |
Président de la Région Haute-Normandie |
Laurent BEAUVAIS |
Président de la Région Basse-Normandie |
Guillaume BACHELAY |
Député de Seine-Maritime |
Christophe BOUILLON |
Député, Conseiller départemental de Seine-Maritime |
Dominique CHAUVEL |
Députée-Maire de Saint-Valéry-en-Caux |
Jean Louis DESTANS |
Député de l’Eure |
Laurence DUMONT |
Députée du Calvados |
Philippe DURON |
Député du Calvados, Conseiller municipal et communautaire de Caen |
Valérie FOURNEYRON |
Députée de Seine-Maritime, Conseillère municipale de Rouen |
Yves GOASDOUE |
Député-Maire de Flers, Président de la Communauté d’Agglo Pays de Flers |
Estelle GRELIER |
Députée de Seine-Maritime, Conseillère municipale de Fécamp |
Geneviève GOSSELIN-FLEURY |
Députée de la Manche, Conseillère municipale de Cherbourg-Octeville |
Sandrine HUREL |
Députée de Seine-Maritime |
François LONCLE |
Député de l’Eure |
Luce PANE |
Députée-Maire de Sotteville-lès-Rouen |
Joaquim PUEYO |
Député-Maire d’Alençon |
Stéphane TRAVERT |
Député de la Manche, Conseiller régional de Basse-Normandie |
Catherine TROALLIC |
Députée de Seine-Maritime, Conseillère régionale de Haute-Normandie |
Clotilde VALTER |
Députée du Calvados |
François AUBEY |
Sénateur-Maire de Mézidon-Canon |
Jean-Pierre GODEFROY |
Sénateur de la Manche, Conseiller régional de Basse-Normandie |
Didier MARIE |
Sénateur, Conseiller départemental de Seine-Maritime |
Nelly TOCQUEVILLE |
Sénatrice-Maire de Saint-Pierre-de-Manneville |
Frédéric SANCHEZ |
Président de la Métropole Rouen Normandie, Maire de Petit-Quevilly |
Benoit ARRIVE |
Président de la Communauté urbaine de Cherbourg |
Yvon ROBERT |
Maire de Rouen |
Emile CANU |
Maire d’Yvetot |
Bastien CORITON |
Maire de Caudebec-en-Caux, Conseiller départemental de Seine-Maritime |
Jean-Michel HOULLEGATTE |
Maire de Cherbourg-Octeville |
Richard JACQUET |
Maire de Pont-de-l’Arche |
Marc-Antoine JAMET |
Maire de Val-de-Reuil, Conseiller régional de Haute-Normandie |
Bernard LE DILAVREC |
Maire de Gaillon |
Michel LEROUX |
Maire de Pont-Audemer |
Hélène MIALON-BURGAT |
Maire de Mondeville, Conseillère régionale de Basse-Normandie |
Alfred RECOURS |
Maire de Conches-en-Ouche, Conseiller départemental de l’Eure |
Yves-Marie RIVEMALE |
Maire de Verneuil-sur-Avre |
Alain TESSIER |
Maire de Quillebeuf-sur-Seine |
Timour VEYRI |
Conseiller municipal et communautaire d’Evreux |
Gilles DETERVILLE |
Président du groupe PS Conseil départemental du Calvados, Conseiller municipal de Caen |
Janick LEGER |
Présidente du groupe PS Conseil départemental de l’Eure |
Frédéric LEVEILLE |
Président du groupe PS Conseil départemental de l’Orne, Adjoint au Maire d’Argentan |
Laurent LOGIOU |
Président du groupe PS Conseil régional de Haute-Normandie |
Vincent LOUVET |
Président du groupe PS Conseil régional de Basse-Normandie |
Anna PIC |
Co-présidente du groupe PS Conseil départemental de la Manche, Adjointe au Maire de Cherbourg |
Nicolas ROULY |
Président du groupe PS Conseil départemental de Seine-Maritime |
François ROUSSEAU |
Co-président du groupe PS Conseil départemental de la Manche |
13
AVR
2015
Le 8 mars dernier, il était encore avec nous, se dépensant sans compter, avenue des Falaises à l’arrivée de la Rolivaloise, cette course « amateurs », cette course pour les femmes, cette course pour leur santé et la solidarité. Avec son sourire, sa gentillesse. Non par obligation mais par dévouement, par engagement. Ainsi était Charly Hiblot.
Ami de Val-de-Reuil et du sport dans ce qu’il a de plus grand et de plus beau, il était présent et agissant à toutes nos manifestations. Il participait, toujours, à leur réussite. Le VRAC, notamment savait pouvoir compter sur lui. Celui qui savait fédérer autour de lui plus de 600 bénévoles pour l’organisation du Marathon Seine-Eure, qu’il avait présidé de 2009 à 2012, débordait d’énergie, avait couru lui-même une dizaine de marathons et faisait de la marche un plaisir quotidien. Arrivé dans les années 80 à Incarville avec sa femme Pierrette il s’était mis à la course à pied dont il aimait l’ambiance au-delà de l’effort. Pourtant son esprit de tolérance et de bienveillance l’entrainait sans exclusive, loin du tartan et de la cendrée, vers d’autres disciplines pourvu qu’il y ait des sportifs à aider, des jeunes à encadrer, des espoirs à confirmer. Arrivé bien avant le starter, il n’était pas rare qu’il reste jusqu’à ce que le dernier s’en aille. Sa silhouette aimable était connue de tous.
Organisateur du 10km d’Incarville depuis 1986, il s’est tout naturellement impliqué dans l’Association Marathon Seine-Eure avec un succès tel que, en 2014, il avait reçu la médaille de reconnaissance de la FFA. D’une grande simplicité, il ne recherchait pas les honneurs pourtant il était connu de tous. Avec le sens particulier d’une diplomatie rare puisqu’elle s’appelle gentillesse, il avait œuvré à pacifier les relations sportives entre Val-de-Reuil, ses voisins, ses rivaux, faisant entendre les arguments pour que l’épreuve qu’il chérissait voit ses 42 kilomètres se conclure devant la mairie de la Ville Nouvelle ou pour inciter à la fréquentation du stade indoor Jesse Owens. Dès jeudi matin, de bouche en oreille, la triste nouvelle de son décès a fait le tour de la ville et chacun témoignait pour dire combien allait nous manquer celui qui faisait du sport une fête.
Je garde la mémoire d’un partenaire qui, devant la difficulté et la complexité d’une organisation, trouvait la solution avant même de poser les questions, d’un dirigeant sportif humain et passionné, d’un homme profondément chaleureux et sympathique qui n’avait pas d’ennemis. Val-de-Reuil présente à son épouse, à ses enfants, ses petits-enfants, et à ses proches, ses très sincères condoléances.
Communiqué de Marc-Antoine JAMET
Maire de Val-de-Reuil, Vice-président du Conseil régional de Haute-Normandie
13
AVR
2015
Enfants ou parents, c’est une très bonne nouvelle pour tous les Rolivalois et pour leur Ville. Pour la troisième année consécutive, le Conseil Départemental de l’Education Nationale (CDEN) vient d’officialiser l’ouverture de classes supplémentaires dans les écoles de Val-de-Reuil. Quatre nouvelles classes ouvriront donc dès la rentrée de septembre prochain : une Toute petite section (TPS) et une classe à l’école maternelle des Dominos, une classe à l’école élémentaire Léon Blum et une autre à l’école élémentaire Louise Michel.
Outre ces quatre ouvertures de classes, un cinquième poste de maître surnuméraire est créé pour l’école Les Dominos dans le cadre du dispositif « Plus de maîtres que de classes ». Ce poste sera entièrement dédié à l’établissement proche de la dalle et de la mairie, complétant celui déjà existant d’un poste de maître intervenant dans les autres écoles de la Ville. Les 1900 rolivalois inscrit dans l’une des quatorze écoles de la Ville seront ainsi, demain, encore mieux encadrés, mieux accompagnés, mieux soutenus. Nous retrouvons peu à peu le nombre symbolique de 100 instituteurs pour la Ville dont nous avions décroché au début des années 2000.
Cinq postes supplémentaires sur les vingt-neuf prévus au total dans le département. C’est une belle victoire penseront certains. C’est surtout un résultat logique qui valide la politique de soutien à l’éducation et au logement de la municipalité. Les règles de la carte scolaire n’ont en effet pas changé et les enfants sont inscrits au plus près de leur domicile. La décision de la CDEN s’appuie sur la hausse programmée des effectifs pour les prochaines années, elle-même conséquence de la progression constatée, malgré l’absence de recensement d’ensemble, de la population de la plus jeune commune de France. Cette prévision influe directement du nombre de logements en cours de construction dans la cité contemporaine. D’ici à 2017, 621 logements sortiront de terre à Val-de-Reuil, dont 198 dans le secteur de l’école Les Dominos ; 65 dans celui de l’école Louise Michel et 227 dans celui de Léon Blum. Améliorer nos services publics, les densifier, les moderniser, c’est anticiper et accompagner la croissance démographique de notre ville, c’est offrir à tous, les nouveaux habitants en tête, un accueil de qualité, c’est permettre qu’un enfant puisse faire ses devoirs dans un appartement ou une maison propre, moderne, adapté.
Actuellement 1876 élèves sont inscrits dans nos 7 groupes scolaires. Pour la rentrée 2015-2016 ils seront 1908.
Ces postes supplémentaires permettront donc, évidemment, de réduire les effectifs par classe dans les écoles concernées par ces ouvertures avec une moyenne qui passera d’un effectif chargé de presque 27 élèves à 23, facilitant l’enseignement et améliorant les conditions de travail et d’apprentissage de nos élèves souvent issus de milieux défavorisés. Là encore il faut s’en féliciter.
Ceci n’aurait été possible sans les multiples réunions conduites par la 1ère adjointe Catherine Duvallet en charge de l’Education avec les services de la Ville et l’Inspection de l’Education Nationale. Ceci n’aurait pas été non plus possible sans la politique affirmée et volontaire de la municipalité de faire de l’éducation sa priorité en y consacrant le premier budget de la commune.
La municipalité met, en effet, déjà tout en œuvre pour préparer et réussir la rentrée 2015-2016 avec:
– des moyens humains adaptés, grâce au recrutement de deux agents Spécialisés des écoles Maternelles (ATSEM) supplémentaires ;
– des moyens financiers renforcés avec l’achat de mobilier, la réfection et le réaménagement des locaux pour accueillir ces nouvelles classes qui vont justifier les investissements faits dans les écoles et notamment la nouvelle école Louise Michel.
A cet effet, une visite avec les élus, les services municipaux, en présence des deux inspecteurs de l’Education nationale, MM. Gilbert et Leblanc, et les directeurs des 3 écoles a d’ores et déjà permis l’identification des travaux à mettre en œuvre. Avant la rentrée, ils seront réalisés.
Devenue chaque jour plus attractive, la plus jeune commune de France se construit, se développe et voit des familles plus nombreuses, s’y installer. La qualité de l’accueil fait à nos enfants, les moyens consacrés à la jeunesse et une politique éducative ambitieuse y sont, n’en doutons pas, pour beaucoup. Cela fonctionne d’un bout à l’autre de la chaine éducative puisque le lycée Marc Bloch vient de se classer second du département devant ceux d’Evreux ou ceux de territoires plus aisés (gageons qu’il redeviendra premier comme c’est la règle depuis dix ans) et que nous venons d’envoyer à l’admissibilité à Sciences Po de Paris trois de ses jeunes lycéens.
Pour Val-de-Reuil une ouverture de classe c’est nourrir l’avenir, c’est faire émerger la citoyenneté responsable de demain, c’est donner sens à l’Ecole de la République.
Communiqué de Marc-Antoine JAMET
Maire de Val-de-Reuil, Vice-président du Conseil régional de Haute-Normandie
10
AVR
2015
Tout avait bien mal commencé.
Dès le soir du second tour des élections départementales, le 29 mars dernier, alors que la droite, pendant toute la campagne, était restée muette sur l’identité de son candidat à la présidence du département, manière scandaleuse de traiter les électeurs, les pressions, les menaces, les coups de téléphone parisiens s’abattaient sur le centriste Jean-Paul Legendre, pourtant représentant véritable et – quant à lui – authentiquement enraciné de notre territoire, pour l’obliger à renoncer à se présenter à ce poste qu’il aurait occupé, disait-il, dans un esprit de justice et une volonté d’équité, valeurs étrangères à la jeune garde lemairiste. Il s’est exécuté. Il s’est effacé. C’était brutal.
Dès sa séance d’installation, le nouveau président UMP de l’Eure a donné le ton. Pas un mot d’estime, de reconnaissance ou de courtoisie pour son prédécesseur et le travail fait pendant quinze ans par une équipe au service du département et de son développement. Le nom de Jean-Louis Destans ne fut même pas prononcé. La tradition républicaine était foulée aux pieds. C’était grossier.
Dès avant que les résultats officiels soient publiés – du jamais vu ! – l’ancien directeur général de l’UMP en faillite était propulsé à la tête des services du département. L’impréparation flagrante et la compétence incertaine du nouvel élu rendaient obligatoire ce parachutage en catastrophe d’un ancien préfet pour cacher que le roi des vernonnais était nu. Le grand vizir, après avoir demandé son chemin à la gare, découvre en ce moment même la réalité de nos villes et de nos villages sur Wikipédia. C’était méprisant.
Dès avant que le pauvre Sébastien ne s’assoit sur son fauteuil, ces deux parrains, ces deux chaperons, ces deux papas, ces deux tontons, Cousin Morin, éleveur de Yearlings qui se souvient avoir débarqué à Omaha, et grand-père Le Maire, permanent patenté d’une politique de cumuls déguisés, mettaient sur leur petit débutant la pression, lui rappelant, en s’asseyant au premier rang de la séance d’installation, qu’ils étaient les vrais patrons. Comme les émigrés de Coblence, ils n’ont pas changé. Rien compris. Rien appris. C’était arrogant.
Dès avant que l’ancien attaché parlementaire du Ministre des affaires européennes, qui a ruiné en son temps les agriculteurs et éleveurs eurois, n’a dit un mot, émis un son, prononcé une parole, on lui adjoignait, un peu comme à Mgr Gaillot autrefois, un coadjuteur, élu battu de Paris, un dénommé Laurent Dominati, pour limiter ses erreurs, maladresses, et autres bêtises, annoncées jusque depuis les rangs de la droite comme volant en escadrilles lorsque le jeune président s’exprime. C’était exagéré.
Dès avant que les habitants de Vernon s’aperçoivent que celui qu’ils avaient élu -il y a moins de douze mois- pour 6 ans leur avait menti par omission, taisant sa future désertion et prenant aussitôt la poudre d’escampette pour Evreux M. Lecornu révélait dans un entretien scandaleux donné au blog « caméra diagonale », donnant l’air de ne pas comprendre l’énormité qu’il proférait, qu’il s’assiérait sur les lois, ignorerait la morale et contournerait les institutions pour nommer « à titre de remplaçant » un maire de « paille » dont il serait le ventriloque à chaque conseil municipal. Quel modèle d’instruction civique ! C’était honteux.
Mais le plus gros était encore à venir. Pour préparer, au chaud, sa candidature aux législatives de 2017 et faire face au tollé que suscite à Vernon aussi bien son départ précipité que la nomination d’un prête nom missionné à l’inauguration des chrysanthèmes, un coup tordu vient d’être mis au point. Un recours bidon est déposé depuis deux jours contre l’élection de M. Lecornu. L’objectif de cette manipulation est de neutraliser, tant que la procédure sera en cours, l’incompatibilité entre les fonctions de maire de Vernon et de président du conseil départemental de l’Eure qu’il veut cumuler. Ainsi est tourné l’esprit de la règle. Ainsi est dupé le citoyen. Ainsi est anesthésiée la colère populaire.
Devant cette hypocrisie que certains qualifient de magouille les socialistes n’ont pas envie de dire « bravo l’artiste ». Les affaires publiques, les impôts, les équipements, la voirie ne sont pas un jeu d’enfant. En 15 jours seulement, c’est déjà un recul de 15 ans en arrière. C’est le retour aux vieilles méthodes, aux petits arrangements entre amis, à la politicaillerie la plus détestable. Le département avait « une Eure d’avance ». Avec la droite, il commence déjà, au bout de deux semaines seulement, à accumuler les retards.
Communiqué de Marc-Antoine JAMET
Premier secrétaire fédéral du Parti socialiste de l’Eure
26
MAR
2015
Marc-Antoine JAMET
Maire de Val-de-Reuil,
Appel à tous les Rolivalois
Val-de-Reuil, le 26 mars 2015
Madame, Monsieur,
Dans trois jours, dimanche prochain, le 29 mars, de 8 heures à 18 heures, pour le second tour des départementales, dans nos écoles (Coluche, Léon Blum, Pivollet, Dominos, Jean Moulin, Louise Michel), avec mes collègues du Conseil Municipal, nous vous attendrons personnellement pour que vous puissiez voter dans les six bureaux de vote de la Ville.
C’est un scrutin essentiel pour nous. Le département s’occupe de tant de choses qui font notre vie quotidienne et travaille à l’améliorer. Il finance l’aide que nous apportons aux personnes très âgées ou dépendantes, l’accueil des tout petits enfants, la rénovation urbaine de la commune (que chacun salue déjà, mais qui va permettre aussi la réhabilitation du Mail ou des environs de Léo Lagrange), la modernisation des collèges (qui a permis la construction d’Alphonse Allais ou le démarrage de la modernisation de Pierre Mendès France…), les transports et notamment notre nouvelle Gare, le futur réseau numérique de la commune, ses installations sportives ou culturelles, son action sociale, sa politique de solidarité. Tous les grands sujets d’avenir, tous les sujets importants, nécessitent l’aide de ceux que nous allons élire dans quelques jours.
Nous sommes donc tous concernés. C’est pourquoi, une fois encore, je vous demande de vous mobiliser, de vous déplacer, de venir voter et, même, de convaincre vos parents, vos enfants, vos voisins, vos amis de vous accompagner. Déposer un bulletin dans une urne est un beau geste. Nombre de nos concitoyens l’accomplissent avec leurs enfants. Beaucoup ont conscience que, par le passé, des femmes et des hommes sont morts pour que nous puissions profiter de ce droit, de cette liberté. Quelques minutes pour décider de notre destin collectif, c’est, quand on y réfléchit, très peu de temps dans une journée et c’est pourtant essentiel dans une vie.
J’ajoute que j’ai immensément besoin de vous. Une commune qui ne vote pas, je suis triste de le répéter et vous prie de m’excuser d’insister, est une commune qu’on ne respecte pas, qu’on n’écoute pas, qu’on ne connaît pas. C’est une commune qui n’existe pas. Vous aviez été près de 5000 à voter aux municipales il y a un an. Vous étiez près de 4000 à participer aux cantonales il y a six ans. Vous étiez moins de 3000 à le faire dimanche dernier. Ce n’est pas possible. Comment voulez-vous que je mobilise la région Normandie, l’Etat, l’agglomération Seine-Eure, le département de l’Eure sur nos dossiers si nous donnons l’impression d’être les premiers à ne pas nous en soucier ? Je suis à votre service et je vous remercie de votre reconnaissance, de vos remerciements, de vos encouragements, mais il faut absolument que vous veniez voter.
Qui plus est, nous avons un atout extraordinaire à Val-de-Reuil. Nous connaissons bien ceux qui pourraient nous représenter pour les six prochaines années et nous savons leur compétence, leur disponibilité, leur dévouement et leur proximité. Il s’agit de Janick Léger, une femme remarquable, enseignante de formation, qui a été sur tous les fronts, dans toutes les initiatives de développement de la commune, qui, sans compter son temps et son énergie, a apporté son aide à des centaines, probablement à des milliers d’entre nous. Elle est la meilleure spécialiste de l’école, du social, des services publics départementaux qu’on puisse trouver. Avec elle, un homme d’expérience, Jean-Jacques Coquelet, familier des collectivités locales, ce qui est précieux, capable de monter un dossier, de le défendre et de l’emporter. J’ai la chance que cet habitant fidèle de Val-de-Reuil soit adjoint aux finances dans mon équipe. Il m’appuie pour réduire la dette du passé, ne pas augmenter les impôts depuis quinze ans et investir pour nos enfants.
Alors, mon appel sera simple. Aux électeurs de Gauche, que je sais déçus, hélas et plus souvent qu’à leur tour, par les résultats actuels de la politique nationale, je veux rappeler qu’il ne faut pas se tromper de scrutin. Les enjeux sont locaux. Leurs idées de progrès et de solidarité ont été, ici et à Evreux, respectées et appliquées par ceux qu’ils avaient désignés. Les résultats, à cette échelle, même s’il faut continuer de se battre pour l’emploi et la croissance, comme je le fais, ont souvent été à la mesure de leur espérance. Pas de dispersion, pas de désertion. Je souhaite leur forte mobilisation. C’est celle de l’espoir et de l’efficacité.
Auprès des électeurs de droite qui n’ont pas de candidat qualifié pour le second tour de dimanche prochain, je veux faire appel au sens de l’honneur et de la République. Il y a des valeurs, des engagements, des principes qui dépassent les étiquettes politiques. Ce sont ceux de la démocratie. C’est pourquoi nos voisins, les maires du Vaudreuil et de Louviers, ont appelé les électeurs de l’UMP/UDI à voter pour Janick Leger et Jean-Jacques Coquelet. On ne peut faire le choix du désastre économique, de l’isolement international, de la ségrégation raciale, de la dislocation sociale en suivant les mauvais génies de la France.
Aux électeurs du Front National, un tiers moins nombreux qu’aux européennes et qui n’ont jamais vu leurs candidats faire campagne, et notamment aux jeunes qui ont fait ce choix, je veux dire qu’il n’y a pas plus patriote que moi, et je peux parler également pour Janick Léger et Jean-Jacques Coquelet. Notre drapeau flotte partout dans la Ville et éclaire la mairie. Je suis le premier rempart pour votre sécurité et nous avons mis plus de caméras de vidéo-vigilance dans nos rues, installé un commissariat, fait reculer délinquance et incivilité. Val-de-Reuil, avec nous, est plus propre, plus estimée et plus sûre. Mais nous ne ferons jamais la moindre différence entre les enfants de nos écoles, les citoyens devant la Nation et nos concitoyens dans nos rues suivant leur lieu de naissance ou la couleur de leur peau, car c’est le message de la France, des droits de l’Homme et de l’humanité. C’est aussi celui de la paix, du bon sens et du vivre ensemble ! C’est le chemin qu’il faut retrouver ensemble avec Janick Léger et Jean-Jacques Coquelet.
Je vous prie de bien vouloir agréer, Madame, Monsieur l’expression de mon dévouement pour notre Ville.
Marc-Antoine JAMET